samedi 18 août 2012

Villerville, Hennequeville et Cricqueboeuf: des secteurs instables

Le long du littoral, il existe de nombreux endroits ou des glissements de terrain sont possibles. Il y a déjà eu des précédents. Parmi les plus importants.
Dans la nuit du 13 au 14 janvier 1982, gros affaissement au cirque des Graves à Villerville, environ 30 maisons furent endommagés.
En février 1988, affaissement à Cricqueboeuf aux Fosses du Macre, deux villas sont détruites.
Le 1er juin 2003, à Hennequeville au lieu dit les Creuniers. Suite a des éboulements, de la terre et des arbres ont endommagés des maisons se trouvant en bas de la falaise, au total près d'une dizaine sont évacuées même si certaines n'ont pas été directement touchées. C'est cet évènement qui est détaillé dans cet article.
Cette catastrophe est du a un gros orage qui a apporté une énorme quantité d'eau.
Depuis cette date, elles ont été notamment squattées et vandalisées avant qu'elles ne soient murées. Des personnes plus respectueuses pratiquant l'urbex ont immortalisé ces lieux abandonnés de ce coin de Normandie par la photographie. Ensuite la nature a repris ses droits, lierres, ronces et autres végétation ont envahis les lieux.
En août 2012, toute la végétation est enlevée et les maisons sont ouvertes et mises a nu en vue de leur démolition. Découvrez ce stade sur les photos suivantes.Coté falaise, Il s'agit des maisons et bâtiments des parcelles 292, 293, 296, 295, 26, 27, 28. Les habitations se trouvant sur les parcelles 13 et 266 sont incluses dans cette démarche de démolition, alors qu'elles ne sont pas mentionnées dans l’évènement de 2003, ainsi que la maison parcelle 8 (probablement dépendance du manoir parcelle 6?) et le manoir parcelle 6 qui étaient à l'abandon depuis de nombreuses années (années 1980?). Le manoir a fait l'objet d'un incendie dans les années 1990 alors qu'il était déjà a l'abandon et régulièrement visité par des squatteurs, cet évènement l'a complètement détruit; un scénario similaire avait déjà du se produire avant cette date car des stigmates d'incendie étaient visibles sur une petite portion du bâtiment. Nom du manoir?, raisons de son abandon? Des réponses seraient les bienvenues dans la partie commentaires. Ce qui est certain, c'est que le secteur est instable, et que par le passé, il y a eu des mouvements de terrain, au vu des renforcements métalliques présents sur plusieurs bâtiments se trouvant de part et d'autre de cette route de Honfleur D513.
A noter que la maison de la parcelle 16 n'est pas concernée par cette phase de démolition et est habitée.
Voila pour les maisons coté falaise. Concernant les maisons de l'autre coté de la route, celle parcelle 50 est désamiantée puis démolie. La maison parcelle 22 et le garage attenant dont démolis.
 Retrouvez après les photos, le rapport du brgm concernant la catastrophe du 1er juin 2003.

Maisons et bâtiments concernées par les démolitions (petit losange bleu)

Parcelles concernées. cliquez pour agrandir. Source:  http://www.cadastre.gouv.fr
La maison de la parcelle 296 ne figure plus sur le cadastre en août 2012, rajout en rouge de manière approximative.



Maison de la parcelle 292.

A gauche, maison de la parcelle 293 et a droite maison de la parcelle 292.

Petit bâtiment de la parcelle 296.

Maison de la parcelle 296.


Au premier plan maison de la parcelle 295.Derrière, la maison de la parcelle 26 puis au fond maison de la parcelle 27. 

Au premier plan, terrasse du premier étage de la maison de la parcelle 295.  Sur la gauche, maison de la parcelle 296.

Mur de soutènement sur la parcelle 293.


Maison de la parcelle 295.

Le bâtiment, un atelier, de la parcelle 28 est détruit sur cette photo , reste un bout de mur a gauche.
Au fond, maison de la parcelle 27.

A gauche, maison de la parcelle 27 et a droite maison de la parcelle 26

Vue générale du haut de la maison de la parcelle 292.


Maison de la parcelle 292.
Maison de la parcelle 266.
Maison de la parcelle 13.
Coté du manoir parcelle 6

Bâtiment annexe au manoir parcelle 6 (pas sur le cadastre).

Vue du manoir parcelle 6 quasiment démoli.

Au premier plan, maison parcelle 266 et en arrière plan maison parcelle 13.

Maison et sa dépendance parcelle 13

Maison parcelle 266.

Maison parcelle 13 avec sa dépendance à droite même parcelle.

A gauche, maison parcelle 13. A droite, maison parcelle 266.

Restes de la maison parcelle 8 venant d’être démolie.
Au premier plan, maison de la parcelle 22. En arrière plan, celle de la parcelle 50.

Maison de la parcelle 50 en plein désamiantage.

Retranscription partielle du rapport RP-52404 du brgm (site internet) concernant les mouvements de terrain du site "les Creuniers". Document en version pdf


II s'agit en fait de trois éboulements différents ayant eu lieu sur ce tronçon de falaise.

21 : Parcelle AP 26 : x = 438,125 ; y = 1169,650 ; Lambert l, z = + 75 m NGF)
22 : Parcelles AP 295 et AP296 : x = 438 ,100 ; y + 1189,625 ; Lambert l, z = + 75 m NGF)
23 : Parcelles AP293 et AP292 : x = 438,055. y = 1189, 575 ; Lambert l, z = 80 m NGF)

Dans tous ces cas, les éboulis sont partis de la falaise située en partie sur la parcelle
AP31 semble-t-il. Ces 3 éboulis sont analogues mais différenciés, chacun correspondant approximativement à un volume de 50 à 300 m3 (estimation visuelle peu fiable) mobilisé.

1. DESORDRES CONSTATES

Au site 21, les formations superficielles de la tête de falaise (argiles à silex et limons des plateaux) se sont éboulées depuis le sommet de l'escarpement crayeux jusqu'à son pied. Cet événement s'est accompagné d'une chute d'arbres de haut jet qui ont  accompagné les terrains déstabilisés. La tête d'éboulis (argiles el cailloux) est venue s'adosser sur une pièce de la maison d'habitation située parcelle AP 26 et défoncer une porte-fenêtre ainsi que des éléments de clôture. La maison n'a pas fissuré lors de l'événement, les fissures visibles étant anciennes, d'après le témoignage des propriétaires et au vu de leur état lors de la visite du BRGM. Latéralement à la maison, la tête d'éboulis a provoqué d'importants moutonnements de terrain (boursouflure de la terre végétale sur 1 m de hauteur, signalant la poussée provoquée sur le replat de pied de falaise par les matériaux éboulés). Les maisons plus à l'est (parcelles AP27 et AP 28) étaient hors de la zone d'atterrissement de ces éboulis lors du constat et n'ont pas été concernées par ce mouvement de terrain.
Les habitants de la maison située Parcelle AP26 étaient présents lors de la visite du
BRGM et signalaient qu'ils ne couchaient pas dans celte maison depuis l'événement mais l'occupaient (sauf partie atteinte par I 'éboulis) en journée.

Au site 22, le même phénomène d'éboulis des formations de la tête de falaise s'est produit avec des conséquences beaucoup plus catastrophiques : une partie de l'éboulis a provoqué la destruction du premier étage de la maison d'habitation de la parcelle AP296 et une autre partie de cet éboulis est venue pousser et fissurer la maison située parcelle AP295. Là encore, la chute de grands arbres a constitué un facteur fortement aggravant, les troncs ayant vraisemblablement renforcé l'effet «  bélier «  de l'éboulis sur ces maisons. Un des arbres tombés est venu partiellement bloquer la route départementale 513, son déblaiement s'achevant le 2 juin après midi. II n'a pas été possible de fournir au BRGM des précisions sur d'éventuels blessés (nombre notamment) mais il est signalé dans la presse au moins un blessé qui serait associé à cet événement en ces lieux.

Au site 23, la parcelle AP293, très en pente (sur de l'éboulis ancien en base de falaise de craie), a fait l'objet d'un mur de soutènement en pied d'éboulis, il y a quelques années. Ce mur est en position latérale par rapport à la maison. Ce soutènement a résisté et a dérivé un troisième éboulis de la tête de falaise vers la parcelle AP296. La maison située sur la parcelle AP293 n'a subi que la chute de quelques cailloux et l'arrivée de boue du fait du ruissellement sur l'éboulis. Là aussi, on constate la présence de plusieurs arbres de haut jet présentant un danger en tête de falaise sur le versant, situés sur la parcelle AP31. Le propriétaire de la parcelle AP293 a signalé avoir plusieurs fois demandé cet essartage de la parcelle AP31, sans succès, et a effectué lui-même la taille de quelques-uns des arbres les plus proches de son habitation, mais situés apparemment sur la parcelle AP31 et peut être aussi sur la parcelle AP 15.
Les éboulis récents ont couvert en partie la tête drainant du soutènement et ont aussi couvert de terre les sorties latérales des drains.
La morphologie de la falaise au droit du mur de soutènement laisse supposer que l'on se situe dans l'axe de mouvements plus anciens de mêmes types, qui ont eu lieu dans les décennies ou siècles passés.
Hormis l'arrivée d'eau boueuse dans l'une des pièces de la maison, le bâtiment situé parcelle AP293 ne présentait pas de désordres visuels lors de la visite du BRGM.

2. DIAGNOSTIC

Site 21 : II s'agit d'un éboulis de formations superficielles en tête de falaise d'un volume très approximatif de 50 à 300 m3, aggravé par un déracinement d'arbres de haut jet lors de l'évènement. La tête d'éboulis est venue s'appuyer sur une partie de la maison d'habitation sans provoquer de dégâts majeurs. II n'est pas certain que cette maison connaitra une forte poussée due à ces éboulis, seuls quelques m3 en tête semblant s'être adossés au mur en dehors de l'axe d'éboulis.

Site 22 : il s'agit d'un éboulis analogue, d'un même volume approximatif (50 à 300 m3) aggravé par la chute d'arbres de haut jet. La distance entre la falaise et la RD513 et la topographie de détail en cet endroit a permis à l'un des arbres de venir bloquer le passage sur la route départementale.

Site 23 : Même scénario d'éboulis, taille analogue et terrain encore plus favorable. La topographie de la falaise montre que sur une échelle de temps plus longue (siècle, millénaire ? mais pas « géologique », on est presque dans une situation de couloir d'éboulis.

Dans tous ces cas, le facteur déclenchant est le ruissellement induit par les fortes pluies du 1 juin 2003. Si les arbres qui sont tombés constituent un facteur aggravant en termes de conséquences, il n'est pas possible de dire si le départ des éboulis a provoqué le déracinement des arbres ou, si au contraire, c'est la déstabilisation des arbres, du fait de la saturation en eau des terrains qui a généré l'éboulis. II est par contre certain que l'éboulement de ces formations meubles en tête de falaise lors de fortes pluies est une des modalités naturelles d'érosion de ces assises. Que de tels éboulis se soient produits, suite à cet orage, est du domaine naturel de l'évolution du paysage.

3. RECOMMANDATIONS

Globales à toute la zone :

Dans un premier temps, il est recommandé de surveiller la zone pour prendre les mesures conservatoires qui pourraient s'imposer en cas d'évolution de la situation. II s'agit notamment de s'assurer que les maisons d'habitation du site ne connaissent pas une aggravation de la situation due aux éboulis dans les mois prochains, avant déblaiement.

Dans les plus brefs délais, de procéder à la coupe de plusieurs arbres de haut jet situés semble-t-il en grande majorité voire en totalité sur la parcelle AP31, au-dessus des maisons de celle zone (parcelles AP26-AP27-AP 28, AP293). Ceci pour éviter que dans le futur ces arbres n'aggravent d'éventuels autres glissements, ou simplement tombent sous leur propre poids en cas de terrains saturés en eau ou de vents forts. Cette recommandation vaut aussi pour la sécurité de la route départementale n° 513 qui peut être atteinte par de tels arbres, ainsi que l'événement du 1 juin 2003 l'a démontré.

Site 21 :
Tant que la situation reste en l'état, la partie de la maison concernée par les éboulis (et les abords de la parcelle dans la zone éboulée) doivent être mise sous arrêté de péril avec évacuation provisoire de la partie sensible. Les propriétaires ont été informés de ne pas séjourner dans la zone potentiellement fragile et ont assuré ne pas coucher dans la maison tant que le nettoyage de la tête d'éboulis ne sera pas effectué : cette situation apparaissait correcte si elle est respectée. Toute fissure qui apparaitrait dans cette maison, tant qu’elle est dans cette situation, impliquerait alors de mettre l'ensemble du bâtiment en arrêté de péril imminent et serait associé à une évacuation durable des lieux. En cas d'aggravation de la situation (rupture de la maison), une procédure d'évacuation plus permanente serait à envisager (péril imminent). Si au contraire, la situation permet un déblaiement des éboulis et que rien n'affecte la maison dans sa structure, celle-ci pourrait devenir ré habitable. Mais sa situation reste sensible dans un tel site et ses habitants doivent en être conscients.

De faire procéder, après un délai d'un mois environ après les événements, au déblaiement de la tête d'éboulis qui s'appuie sur la maison. Ce travail devra être effectué avec précaution pour s'assurer que ce déblayement ne déstabilise pas les matériaux éboulés plus en amont. Le délai avant d'envisager les travaux a pour but de voir comment se stabilise l'amont de l'éboulis (qui pourrait encore progresser à vitesse lente) el permettre à une partie de l'eau qui le sature de s'éliminer, assurant une meilleure tenue de ces terrains lors du déblaiement.

Site 22 :
Les deux parcelles concernées doivent être mises SOUS arrêté de péril imminent et les maisons définitivement évacuées. L'une d'entre elle est désormais détruite et l'autre, bien que simplement fissurée, pourrait à la fois évoluer dans le futur et se situe dans une telle position qu'il serait peu recommandé de la réoccuper.
 L'évacuation des biens récupérables de ces deux maisons devra être effectuée avec précautions, surtout la maison détruite de la parcelle AP296 dont le plafond résiduel peut s'effondrer SOUS le poids des terres. A ce titre, lors de l'évacuation, outre une surveillance constante pour évacuer en urgence si nécessaire, une personne devra rester hors des habitations pour pouvoir agir en cas de besoin et l'opération devra s'effectuer de jour.

Pour ces deux maisons, une procédure d'expropriation semblerait la moins mauvaise des solutions, les parcelles après démolition pouvant devenir une zone « tampon » lors de potentiels futurs éboulis par rapport à la RD 513.

Site 23 :
Outre étêter des arbres, il sera nécessaire de nettoyer les exutoires des drains du mur de soutènement et de placer un géotextile au sommet des drains pour éviter que des eaux boueuses ne le colmatent trop.
Pour diminuer le niveau de risque de cette maison, un prolongement latéral (et plus haut) du mur de soutènement actuel serait nécessaire pour protéger en partie cette maison. Mais la place disponible ne permet pas de tels travaux sans démolition en partie de la maison d'habitation. On doit rester conscient que, indépendamment des éboulis de la tête de falaise, cette maison comme les autres est potentiellement soumise aux lents glissements de versant qui affectent toute la zone.

Par défaut, la pose d'un grillage de protection et d'un petit mur de renforcement en arrière de la maison permettrait d'éviter les chutes de pierres ou l'impact de petits mouvements de l'éboulis sur lequel est construite cette maison. Toutefois, si un gros mur de confortement devait prolonger l'actuel, un tel mur ne serait possible qu'en détruisant une partie de la maison actuelle pour disposer de la place nécessaire à cette construction.

Bien que rien n'ait profondément affecté cette habitation (parcelle 293) lors des évènements du 1er juin 2003, sa position très proche de la falaise et la conformité de la falaise font qu'elle reste dans une zone à haut risque malgré le mur de soutènement construit. Si rien ne justifie, au vu des faits constatés, un arrêté de péril, il reste clair que ce site est en situation préoccupante. D'envisager une démarche d'expropriation serait vraisemblablement une solution pertinente à envisager.

Enfin, on signalera ici la maison inoccupée, située sur la parcelle AP292, immeuble de trois étages qui a visiblement déjà fait l'objet de chaînages anciens après avoir subi un mouvement de terrain (ou plusieurs ?). Cette maison, qui n'a rien subi lors du 1er juin 2003, est aussi dans cet environnement fragile même si elle est un peu plus éloignée de la zone sensible. Il apparaît clair que laisser la possibilité de réoccuper cet immeuble serait une démarche techniquement discutable vu sous l'angle du géologue, ceci d'autant que des réfections notables et vraisemblablement coûteuses seraient à envisager avant de pouvoir réoccuper ce bâtiment qui pourrait subir des dommages dans le futur lors de mouvements de terrains du même type.

mardi 14 août 2012

Honfleur: Alphonse ALLAIS, ses ancêtres Augerons

Alphonse Allais est un journaliste, écrivain et humoriste français né le 20 octobre 1854 à Honfleur (Calvados) et mort le 28 octobre 1905 à Paris.

Célèbre à la Belle Époque, reconnu pour sa plume acerbe et son humour absurde, il est notamment renommé pour ses calembours et ses vers holorimes. Il est parfois considéré comme l'un des plus grands conteurs français.

Voir Wikipédia

Ascendance:



Génération n°1
--------------
[1] Alphonse ALLAIS, né le 20 octobre 1854 à Honfleur (14333), décédé le 28 octobre 1905 à Paris (75) à l'âge de 51 ans qui était Journaliste, Ecrivain, Humoriste.

Génération n°2
--------------
[2] Charles Auguste ALLAIS, né le 13 juillet 1825 à Vicques (14), décédé en 1907 à l'âge de 82 ans.
Il épouse le 15 mars 1852 à Equemauville (14243) [3] Alphonsine VIVIEN, née en 1830 à Honfleur (14333), décédée en 1927 à l'âge de 97 ans, fille de Guillaume VIVIEN {° 1791,+ 1860} et de Catherine Jeanne DUCHEMIN {° 1792,+ 1853}.
Ils eurent un enfant connu : Alphonse.

Génération n°3
--------------
[4] Jacques ALLAIS, né le 3 avril 1802 à Vicques (14).
Il épouse le 3 août 1824 à Morières (14) [5] Marie Madeleine Rosalie ROUSSEL, née en 1797 à Morières (14), décédée le 16 septembre 1850 à Morières (14) à l'âge de 53 ans, fille de Charles ROUSSEL {° ~1758,+ 1844} et de Marie LHERMITTE {° ~1773,+ 1832}.
Ils eurent un enfant connu : Charles.

[6] Guillaume VIVIEN, né le 25 novembre 1791 à Honfleur (Saint Léonard) (14333), décédé le 25 novembre 1860 à Honfleur (Quai du Havre Neuf ou il se trouvait momentanément) (14333) à l'âge de 69 ans qui était Charpentier de marine puis négociant en bois à Equemauville.
Il se lie avec Marie Anne Félicité LEMONNIER. Postérité non connue.
Il épouse le 3 mars 1813 à Honfleur (14333) [7] Catherine Jeanne DUCHEMIN, née le 2 mai 1792 à Honfleur (14333), décédée le 29 mars 1853 à Equemauville (14243) à l'âge de 61 ans, fille de Jean Baptiste François DUCHEMIN {,+ 1796} et de Madeleine BOUVIER.
Ils eurent deux enfants connus : Emilie et Alphonsine.

Génération n°4
--------------
[8] Pierre ALLAIS.
Il se lie avec [9] Marie Anne DENIS.
Ils eurent un enfant connu : Jacques.

[10] Charles ROUSSEL, né vers 1758 à Morières (14), décédé le 15 septembre 1844 à Morières (14) à l'âge de 86 ans.
Il épouse le 1 février 1790 à Percy en Auge (14) [11] Marie LHERMITTE, née vers 1773, décédée le 6 février 1832 à Morières (14) à l'âge de 59 ans, fille de Pierre LHERMITTE et de Madeleine CACHELOU.
Ils eurent un enfant connu : Marie.

[12] Jean VIVIEN, né à Bonneville-la-Louvet (14085) qui est Cocher à Honfleur.
Il épouse le 16 janvier 1787 à Honfleur (Saint Leonard) (14333) [13] Anne VOISARD, fille de Jacques VOISARD et de Marie Claire CHEVALIER.
Ils eurent deux enfants connus : Anne et Guillaume.

[14] Jean Baptiste François DUCHEMIN, né à Pennedepie (14492), décédé le 17 août 1796 à Honfleur (14333).
Il épouse le 14 juin 1791 à Blonville-sur-Mer (14079) [15] Madeleine BOUVIER, fille de Jacques BOUVIER et de Geneviève FONTAINE.
Ils eurent deux enfants connus : Catherine et Jean.

Génération n°5
--------------

[20] Jacques ROUSSEL.
Il se lie avec [21] Françoise COULIBOEUF.
Ils eurent un enfant connu : Charles.

[22] Pierre LHERMITTE.
Il se lie avec [23] Madeleine CACHELOU.
Ils eurent un enfant connu : Marie.

[24] Robert VIVIEN, né à Bonneville-la-Louvet (14085).
Il épouse le 29 avril 1756 à La Lande (27) [25] Marie Jeanne GOSSE, fille de Pierre GOSSE et de Marie Jeanne AUZERAIS.
Ils eurent un enfant connu : Jean.

[26] Jacques VOISARD, né à Honfleur (Saint Léonard) (14333).
Il épouse le 5 février 1754 à Daubeuf (14699a) [27] Marie Claire CHEVALIER, fille de Pierre CHEVALIER et de Marie BELIERE {,+ <1754}.
Ils eurent un enfant connu : Anne.

[28] Jean DUCHEMIN, né à Pennedepie (14492).
Il épouse le 1 août 1765 à Fourneville (14286) [29] Marie Madeleine PATIN, née à Gonneville-sur-Honfleur (14304), fille de Joseph PATIN {,+ <1765} et de Marie GALON.
Ils eurent deux enfants connus : Jean et Jean.

[30] Jacques BOUVIER, né à Blonville-sur-Mer (14079).
Il épouse le 30 janvier 1753 à Villers-sur-Mer (14754) [31] Geneviève FONTAINE, fille de Jacques FONTAINE {,+ <1753} et de Geneviève LEGUILLON.
Ils eurent un enfant connu : Madeleine.

Génération n°6
--------------

[48] Adrien VIVIEN.
Il épouse le 27 septembre 1729 à Bonneville-la-Louvet (14085) [49] Marie BOUCHARD, fille de Estienne BOUCHARD et de Marie ROUSSEL.
Ils eurent un enfant connu : Robert.

[50] Pierre GOSSE.
Il épouse le 27 novembre 1721 à La Lande (27) [51] Marie Jeanne AUZERAIS, fille de Jean AUZERAIS et de Marie AUBRY.
Ils eurent un enfant connu : Marie.

[52] Jacques VOISARD.
Il épouse le 30 mai 1716 à Honfleur (Saint Leonard) (14333) [53] Jeanne VATTEVILLE, fille de Guillaume VADEVILLE et de Catherine MERIEULT.
Ils eurent un enfant connu : Jacques.

[54] Pierre CHEVALIER.
Il se lie avec [55] Marie BELIERE, décédée avant 1754.
Ils eurent deux enfants connus : Marie et Jean.

[56] François DUCHEMIN.
Il se lie avec Elisabeth DAJOU, décédée avant 1731. Postérité non connue.
Il épouse le 16 juillet 1731 à Equemauville (14243) [57] Françoise DELARUE.
Ils eurent un enfant connu : Jean.

[58] Joseph PATIN, décédé avant 1765.
Il épouse le 28 juin 1729 à Saint-Benoît-d'Hébertot (14563) [59] Marie GALON, fille de François GALON et de Marie LECESNE.
Ils eurent un enfant connu : Marie.

[60] Robert BOUVIER, né vers 1692, décédé le 28 novembre 1752 à Touques (Saint Thomas) (14699) à l'âge de 60 ans.
Il épouse le 28 février 1715 à Bourgeauville (14091) [61] Suzanne JOURDAIN, née vers 1692 à Belgique, décédée avant 1753 à l'âge de 61 ans, fille de Guillaume JOURDAIN {° ~1665,+ <1715} et de Marie LECORNAY.
Ils eurent deux enfants connus : Suzanne et Jacques.

[62] Jacques FONTAINE, décédé avant 1753.
Il épouse le 17 juillet 1725 à Saint-Pierre-Azif (14645) [63] Geneviève LEGUILLON.
Ils eurent deux enfants connus : Anne et Geneviève.

Génération n°7
--------------

[96] Robert VIVIEN, décédé avant 1729.
Il épouse le 20 novembre 1705 à Bonneville-la-Louvet (14085) [97] Marie NEEL.
Ils eurent un enfant connu : Adrien.

[98] Estienne BOUCHARD.
Il épouse le 13 février 1700 à Bonneville-la-Louvet (14085) [99] Marie ROUSSEL.
Ils eurent un enfant connu : Marie.

[100] Denis GOSSE.
Il se lie avec [101] Suzanne DESCHAMPS.
Ils eurent un enfant connu : Pierre.

[102] Jean AUZERAIS.
Il se lie avec [103] Marie AUBRY.
Ils eurent un enfant connu : Marie.

[104] Jacques VOISARD.
Il se lie avec [105] Marguerite BOTENTUIT.
Ils eurent un enfant connu : Jacques.

[106] Guillaume VADEVILLE.
Il se lie avec [107] Catherine MERIEULT.
Ils eurent un enfant connu : Jeanne.

[112] Jean DUCHEMIN.
Il épouse le 24 juillet 1695 à Honfleur (Sainte Catherine) (14333) [113] Anne QUESNEL, fille de Mathieu QUESNEL.
Ils eurent deux enfants connus : Jacques et François.

[116] Charles PATIN.
Il se lie avec [117] Anne BOTREL.
Ils eurent un enfant connu : Joseph.

[118] François GALON.
Il épouse le 18 janvier 1705 à Gonneville-sur-Honfleur (14304) [119] Marie LECESNE, fille de Guillaume LECESNE et de Marie QUENTIN.
Ils eurent un enfant connu : Marie.

[120] Jean BOUVIER, décédé avant 1715.
Il se lie avec [121] Marguerite LECOQ.
Ils eurent un enfant connu : Robert.

[122] Guillaume JOURDAIN, né vers 1665 à Danestal (14218), décédé avant 1715 à l'âge de 50 ans.
Il se lie avec [123] Marie LECORNAY.
Ils eurent un enfant connu : Suzanne.

Génération n°8
--------------

[224] Pierre DUCHEMIN.
Il eut un enfant connu : Jean.

[226] Mathieu QUESNEL.
Il eut un enfant connu : Anne.

[236] Pierre GALON.
Il se lie avec [237] Marie LOIR.
Ils eurent un enfant connu : François.

[238] Guillaume LECESNE.
Il se lie avec [239] Marie QUENTIN.
Ils eurent un enfant connu : Marie.

Cricqueboeuf: Enfants morts pour la France 1914-1918

Plaque dans l'église.
Enfants de Cricqueboeuf morts pour la France
Recherches personnelles sur état civil complet.

Cricqueboeuf: Enfants morts pour la France durant la première guerre mondiale.


Nom du militaire
Nom des parents
Nom du conjoint
CANU Louis Ernest
° 17/10/1885 Conteville (27169).
+ 21/07/1918 Saint-Rémy-Blanzy (02693) - Tué à l'ennemi.
Décédé à 32 ans.
224e Régiment d'Infanterie, Sergent.
Mort pour la France, transcrit à Cricqueboeuf.
Fils de CANU Louis Désir
LEMOINE Arnestine Victorine
16/06/1910 Pennedepie (14492)
BELLIARD Léontine Blanche

Fille de BELLIARD Léon
AUBERT Joséphine Célestine
COEURET Olivier François Armand
° 07/07/1884 Équemauville (14243).
+ 17/06/1915 Étrun (62320) - Blessures de guerre.
Décédé à 30 ans.
319e Régiment d'Infanterie, Soldat de 2e Classe.
Mort pour la France, transcrit à Cricqueboeuf.
Fils de COEURET Désiré Julien Olivier
POTEL Marie Armandine

GIMER Charles Paul Eugène
° 03/04/1883 Bonneville-sur-Touques (14086).
+ 21/02/1916 Méharicourt (80524) - Tué à l'ennemi.
Décédé à 32 ans.
28e Régiment d'Infanterie, Soldat de 2e Classe.
Mort pour la France, transcrit à Cricqueboeuf.
Fils de GIMER Victor Anthime
GENEVIEVE Désirée Eugénie Albertine
29/06/1907 Pennedepie (14492)
BURGOT Albertine Pauline Augustine

Fille de BURGOT Honoré Edouard Marie
MIOQUE Victorine Amélie
THUILLIER Armand Adolphe
° 17/09/1887 Lachapelle-Saint-Pierre (60334).
+ 01/06/1916 Vaux-Devant-Damloup (55537) - Disparu au combat.
Décédé à 28 ans.
24e Régiment d'Infanterie, Soldat de 2e Classe.
Mort pour la France, transcrit à Cricqueboeuf.
Fils de  
THUILLIER Alexandrine

Fourneville en 2011

Mairie de Fourneville.Façade avant

Eglise et Mairie de Fourneville

Vue arrière de la Mairie

Vue du cimetière de Fourneville


Arrière de l'église. Sacristie de l'église de Fourneville

Le lavoir de Fourneville

La Mairie et l'Eglise