vendredi 11 août 2017

Saint Arnoult en 1954

Le bottin du Calvados de 1954 nous livre de précieuses informations sur le village. Voici la retranscription. A noter que pour un confort de lecture, les mots abrégés à l’ origine sont réécrits en entier.
Nom
Numéro de téléphone
Ballière R., agriculteur, château Estimauville
Deauville 20.78
Blanchisserie du Golf
Deauville 34.25
Chambrier, épicier
Touques 710.65
Chartiaux, éleveur agriculteur, Les Glaizières
Touques 710.05
Chercy, restaurateur
Deauville 22.72
Chotard M.-A
Touques 710.49
Frotiée L., agriculteur
Touques 710.89
Hôtel du Golf
Deauville 29.01 et 27.19
Lesaffre J., distillateur-liquoriste.
Touques 710.22
Louis R., agriculteur, ferme la Verdure
Deauville 28.58
Palyart R., éleveur chevaux Les Marettes
Deauville 20.19
Poste public
Touques 710.18
Stern Mme R., manoir de Lisors
Deauville 25.98
Varin, agriculteur
Touques 710.16

St Arnoult
Altitude 30m, 35 km Nord Est Lisieux.
Sur rive Touques
Habitants: 336; agglo. 246.
Poste, Télégraphe 2km Touques.
Gare: 1 km à Touques-St Arnoult.
Autobus, Autocar Caen au Havre.
Fête patronale: 3eme dimanche de septembre.
Energie électrique : Triphasé 115/200 volts.
·         Maire: L. Thomas.
·         Instit.: N..
·         Curé: Le curé de Tourgéville.
·         Agriculteurs (principaux) : Ballière R. , Frotiée L., Louis R., Varin.
·         Blanchisserie : Golf (du).
·         Cafés : Grouet, épicier, Panin Veuve.
·         Distillateur liquoriste : Lesaffre J.
·         Eleveur de chevaux, demi-sang : Ballière, pur sang Chartiaux, pur sang Palyart Veuve.
·         Epicier : Chambrier, café.
·         Hôtel- : Golf (du).
·         Maréchal- Ferrants : Chotard Veuve, machine agricole.
·         Restaurateur : Chervy.
·         Sociétés : Association syndicale des Lotissements de Saint Arnoult.
·         Tonnelier : Friboulet G.
·         Transports: Panin E., Panin G., Panin P.
·         Château d’Estimauville: R. Ballière.


dimanche 6 août 2017

L'église d'Englesqueville en Auge en 2003 et 2017

L’événement remonte au commencement de mes recherches généalogiques lors d'une sortie le 12/06/2003 pour voir plusieurs églises du Pays d'Auge dont notamment celle d'Englesqueville en Auge, je prends quelques photos avec mon premier appareil photo numérique. Je circule dans le cimetière et découvre au pied de l'église un tas de gravats où se trouve une plaque tombale "ICI REPOSE CLOVIS LABBEY 1851-1924 REGRETS ETERNELS", je la photographie machinalement, le patronyme LABBEY étant celui de ma grand-mère.
Bien des années plus tard, en juin 2017, je redécouvre ces photos et me penche sur Clovis LABBEY afin de retrouver ses origines. Aussi, par curiosité, je fais une nouvelle visite des lieux avec de nouvelles photos, il y a eu des changements! Entre temps, il y a eu réfection de façade et le sol au pied de l'église a été nettoyé.
Il est aisé de retrouver trace de Clovis grâce aux registres de décès de la commune d'Englesqueville en Auge. Pierre Alexandre Clovis y est décédé le 29/02/1924, né au même lieu le 25/02/1851, époux de BOISBLUCHE Victorine Arméline. Fils de LABBEY Pierre François et de RUFFIN Marie Julie. On apprend également dans l'acte de décès qu'il était cultivateur, Maire et Chevalier du mérite Agricole. On remonte sa généalogie LABBEY jusqu'au milieu du XVIIe siècle, son ancêtre le plus lointain est Cardin LABBEY, marié à HERARD Renée. Il n'y a donc pas de liens avec "les miens" dont l'origine la plus lointaine connue se trouve du coté d'Hotot en Auge.

Photos du 12/06/2003:





Sur cette photo, on voit le tas de gravats au pied de l'église

La plaque tombale Clovis LABBEY



Photos du 23/06/2017:

L'entrée de la Mairie, par rapport à l'église, celle-ci se trouve un peu plus bas en continuant le chemin


Monument aux morts

La façade a été rénovée , plus de lierre et de gravats...

...A la place des pelotes de réjection, une chouette a élu domicile sous le toit





samedi 17 juin 2017

1884: Meurtre à Touques

Un crime a eu lieu à Touques le 11 juin 1884.

Meurtrier: Jules Marie Louis Auguste ADELINE, agé de 20 ans.
Victime: son grand-père de 82 ans, Jean Jacques Toussaint BIETTE.

Dates clés:

Jules ADELINE tue son grand-père au domicile de ce dernier, dans la rue principale de Touques quartier Saint Pierre le 11 juin 1884 (aujourd'hui rue Louvel et Brière, après investigations dans le cadastre ancien on retrouve l'adresse exacte mais je ne préfère pas la mentionner, il est fort probable que les actuels occupants ne sachent pas qu'il y a eu un crime dans leur maison!).
Il est arrêté à Serqueux (45 km de Rouen) quelques jours après le drame puis jugé à Rouen le 22 août 1884.
Il est fusillé le 29 octobre 1884, place du Champ de Tir à Rouen.

Rue principale du Bourg de Touques
Cadastre ancien du quartier Saint Pierre à Touques, le crime a été commis sur une de ces parcelles cadastrales.

Etat-civil de l'environnement familial:

ADELINE Jules Marie Louis Auguste est né le 10 mai 1864.
Il est fils de ADELINE Auguste né vers 1820 Pont-Audemer et de BIETTE Louise Armande née le 19/08/1830 à Touques, mariés à Bonneville sur Touques le 1er juin 1863. Ladite BIETTE a un frère jumeau Louis Armand.
BIETTE Louise Armande est fille de BIETTE Jean Jacques Toussaint, le grand père du meurtrier, né à Touques le 25/10/1802 et de PILLON Marie Anne Julie née à Touques le 02/08/1797, décédée au même lieu le 15/12/1882, mariés à Touques le 06/02/1825.
Le couple PILLON- BIETTE a au moins une autre fille, la tante du meurtrier, Julie Désirée BIETTE née à Touques le 12/03/1828, elle s'est mariée le 19/01/1850 à Touques avec POUETTRE François Alexandre né à Touques le 20 octobre 1814. Ledit POUETTRE étant le petit fils de POUETTRE Jean François, qui fut Maire de Touques de 1808 à 1817. POUETTRE François Alexandre est aussi cousin germain d'Emile SOREL, père de l'historien Albert SOREL.

Recensement de 1881, Quartier Saint Pierre, le Bourg

Les faits:

De nombreux journaux de l'époque ont relatés cet événement. Le Journal de Caen du dimanche 24 et lundi 25 Août est très précis sur le déroulement de celui-ci suite au jugement de l'assassin. Voici la retranscription complète de l'article ci-dessous.

conseil de guerre permanent.
3ème région de corps d'armée

présidence de M. BARROY, lieutenant-colonel du 12ème régiment de chasseurs à cheval

Audience du 22 août 1884

L'assassinat de Touques

Le soldat parricide. Condamnation à mort.

Il y a quelques jours encore, cette cause criminelle se présentait avec une particularité qui devait ajouter une dose d'intérêt à l'audience: l'accusé Adeline, malgré les témoignages les plus accablants qui le désignaient avec la plus entière évidence comme le meurtrier de son grand-père, refusait d'avouer son crime. Avec une obstination digne d'un meilleur objet, il s'était enfermé dans un mutisme absolu, de peur de se "couper" dans les interrogations qu'on lui faisait subir. Soutiendrait-il cette attitude devant le conseil de guerre? On pouvait le penser, dit le Journal de Rouen, auquel nous empruntons ce compte-rendu, quand il y a trois jours, à la suite d'une entrevue avec son avocat, Adeline a fait mander le président du conseil de guerre, et, en pleurant, a fait la confession de son crime. Pourra-t-on lui tenir compte de cette preuve de bonne volonté et de repentir?
Avant d'être assassin, Adeline - qui n'a que dix-neuf ans - a été voleur; son passé est des plus tristes. Né à Touques (Calvados), il a été renvoyé du lycée de Caen d'abord, du lycée de Rouen ensuite, ce qui est déjà une mauvaise note. Son père en fit un clerc de notaire et le plaça dans une étude à Pont-l'Evêque. Là, Adeline trouva moyen de dérober 150 fr. à l'un de ses collègues; aussi fut-il chassé de l'étude. C'est alors qu'il contracta un engagement volontaire au 74e de ligne en garnison à Rouen.
Sa conduite au corps fût loin d’être exemplaire. Adeline eut des maîtresses; il avait loué une chambre en ville, et son genre de vie l’entraînait à des dépenses considérables. Il n'était prodigalités qu'il ne fit à la cantine; ses camarades, et au dehors "ses connaissances" pouvaient le croire fort riche, à le voir ainsi jeter l'argent par les fenêtres. D'ailleurs, hâbleur parfait, il parlait très haut de sa fortune.
On ne sait que trop, hélas! Aujourd'hui, comment il se procurait des ressources. Deux mois avant le crime qui l'amène aujourd'hui devant le conseil de guerre, Adeline était allé furtivement chez son grand-père, et, profitant de la confiance que le vieillard avait en lui, il lui avait volé 2,000 fr. Avec cela, il pouvait s'offrir des régals et des maîtresses.
Telle a été sa vie jusqu'au jour où, ses derniers écus follement dissipés, harcelé de tous côtés par ceux à qui il avait emprunté et par celles qui vivaient de ses libéralités, il a eu la fatale idée de voler encore son grand-père...dût-il en venir à le tuer pour lui prendre son or. La chose ne devait pas être difficile; quelle résistance pourrait lui opposer un vieillard de quatre-vingt-deux ans?
Froidement prémédité, cet odieux parricide a été exécuté, on va le voir, avec un effrayant sang-froid. Adeline part de Rouen dans la soirée du 10 juin dernier. Il arrive à Touques vers deux heures du matin. Le voici devant la maison de son grand-père, M. Biette; il sait qu'elle est fermée à clé et que, par derrière, elle est entourée de murailles; mais il connait assez bien les abords pour que ces obstacles ne l'embarrassent pas.
Il escalade le mur de la maison voisine, ou habite sa tante, en s'aidant d'une vieilles porte, saute dans le jardin, en cassant une branche d'un groseiller, et, de l'autre côté, un lilas courbé lui offre une sorte de marche-pied pour se hisser aisément sur le mur de son grand-père. Une fois là, il est dans place, car la porte de derrière de la maison de M. Biette ne ferme qu'au loquet. Tout cela ne lui a pas pris grand temps, et il devait être quatre heures au plus quand il s'est trouvé dans le couloir qui sépare en deux le rez-de-chaussée de la maison.
La chambre du grand-père était au premier. Pour y arriver, il fallait prendre l'escalier de la cuisine. Mais, depuis que M. Biette avait été volé deux mois auparavant (il ignorait que ce fût par son petit-fils) il se méfiait d'une nouvelle surprise et fermait au verrou en dedans la porte de la cuisine. Il a donc fallu qu'Adeline attendît pendant près de deux heures dans le couloir que son grand-père se levât et tirât le verrou. Se figure-t-on une pareille faction, au cours de laquelle le futur assassin songeait évidemment à l’abominable action qu'il allait commettre et, sans doute, attendait avec impatience l'instant où son grand-père viendrait s'offrir à ses coups, l'instant où il serait riche et héritier de sa victime!
C'est entre six heures et six heures et demie du matin, que M. Biette s'est levé et est descendu; même sans les aveux du coupable, on peut préciser l'heure, car l'un des témoins cités à l'audience, la fille Louise Barbe, servante de la tante de l'accusé, passant à six heures devant la maison a remarqué que les volets étaient fermés; une demi-heure après, en repassant, elle les a vus ouverts; or c'était le premier soin de M. Biette en se levant.
Adeline entend son grand-père aller et venir, puis tirer les verrous. Le vieillard tire enfin le verrou de la cuisine pour aller ouvrir les fenêtres des autres pièces, et il pousse la porte: celle-ci s'ouvre de dedans en dehors, dans le couloir, par conséquent, et masque le jeune homme. A peine le vieillard passe-t-il, sans le voir, à sa portée, qu'il s'élance sur lui par derrière, le saisit à la gorge, l'étreint violemment et le terrasse. Ce fut l'affaire d'un instant. Puis, craignant sans doute que son grand-père ne revint à lui, Adeline va dans la pièce voisine, avise sur la table une vieille corde à pain de sucre et lui passe le nœud au cou.
Certain de ne pas être dérangé, il monte à la chambre, fouille l'armoire, et le lit dont il bouleverse matelas et couverture; il trouve un porte-monnaie et de l'argent.
Il faut partir maintenant, et éviter d'être aperçu. Pour retarder le plus possible la découverte du cadavre, Adeline traîne par les épaules son pauvre grand-père dans un petit réduit, qui se trouve à coté du salon; c'est une sorte de débarras où l'on serre du bois et mille choses, et dont le sol est couvert de fragments de sciure et de copeaux. Sans doute à ce moment la victime a-t-elle eu encore un soubresaut convulsif, car Adeline a dû lui frapper le visage contre terre. Lorsqu'on a, en effet, relevé le cadavre, qui avait la face sur le sol, la joue gauche était toute sillonnée des poussiers en question, dont quelques-uns avaient pénétré assez profondément dans la chair; et, autre détail non moins horrible dans sa précision, le nez était brisé et les cartilages tordus!
Un dernier trait peindra le sang-froid avec lequel Adeline a perpétré son meurtre. Connaissant la maison, il savait que la porte de la rue, en s'ouvrant, faisait marcher une sonnette; or, au bruit de la sonnette, il sait que Louise Barbe viendra aussitôt apporter le lait du grand-père. Adeline monte sur une chaise et décroche le fil de fer qui met en branle la sonnette; plus de bruit possible.
Toutes ses précautions sont bien prises, et il compte très bien n'être pas vu. Mais, - par une juste punition de son forfait, - à peine vient-il d'ouvrir sans bruit la porte, qu'il se trouve sur le seuil nez à nez avec une jeune porteuse de pain Hélène Legrix, qui venait apporter un petit pain à M. Biette, et qui a parfaitement reconnu le jeune homme. Elle a même eu le temps d'apercevoir le fil de la sonnette qui pendait. Ce qui lui a arraché cette réflexion: "en voilà une qui n'a pas duré". Ce n'était pas la première rencontre qu'Adeline devait faire; quoique ayant pris non pas la grande route de Trouville, mais le chemin du bord de l'eau, moins fréquenté; il a été vu par dix personnes qui l'ont d'autant mieux reconnu qu'il était en habit civil, avec pardessus et chapeau de feutre, tel qu'on l'avait toujours vu au pays.
On sait le reste. Le cadavre découvert, l'opinion publique accusa aussitôt le meurtrier dès le premier moment. C'est même ce qui rend étonnant qu'Adeline ait pu passer plusieurs jours à Rouen, sans sa chambre, avec quelques allées et venues, sans avoir été inquiété. On sait, en effet, que ce n'est que le mardi suivant qu'il fût arrêté, à Serqueux, où il s'était sauvé, après avoir lu dans le Journal de Rouen le récit circonstancié de la découverte du crime, et son nom cité comme celui de l'assassin.
Nous avons rapporté les faits tels qu'ils résultent de l'accusation; on va voir quel système le jeune Adeline a soutenu devant le conseil. M. le lieutenant-colonel Barroy l'interroge d'abord sur ses antécédents:

D. Vous avez volé de l'argent dans la caisse de votre père quand il était chef de gare à Trouville?
R. Oui.
D. Vous avouez aussi avoir pris 150 fr. dans la caisse du principal clerc de l'étude où vous avez travaillé, à Pont-l'Evêque?
R. Oui.
D. Expliquez-nous la scène qui s'est passée le matin du 11 juin, où vous avez assassiné votre grand-père?
R. Je suis arrivé à Touques un peu avant cinq heures, et je me suis introduit par escalade dans le jardin, puis dans la maison, dont la porte du couloir ne ferme qu'a la clanche. Là, j'ai attendu. Mon grand-père est descendu, il est allé dans le jardin après avoir ouvert les volets; c'est à ce moment que je suis allé dans le bureau, puis monté dans la chambre pour prendre l'argent. Comme je redescendais j'ai été surpris par le retour de mon grand-père; mais il faisait sombre dans le couloir, je ne savais pas si c'était lui, j'ai eu peur, je suis sauté sur l'homme qui arrivait près de moi et je l'ai terrassé.
D. Il est étrange que vous n'ayez pas reconnu votre grand-père et que vous l'ayez étranglé comme cela, de but en blanc. Mais où avez-vous pris la corde avec laquelle vous l'avez achevé et qu'on lui a retrouvé au cou?
R. Ce n'est pas moi; je n'avais pas de corde; je ne sais pas.

M. le président l'interroge ensuite sur les circonstances qui ont suivi le crime, Adeline parait contrit; il parle bas, mais néanmoins avec assurance. Sur une dernière question:

D. Avez-vous quelque chose à ajouter pour essayer de vous disculper?
R. J'aimais bien mon grand-père; et si j'ai fait cela, c'est que j'y ai été entraîné par la passion des femmes.

L'interrogatoire des témoins devrait offrir peu d'intérêt, étant donnés les aveux de l'accusé. Aussi, d'accord avec la défense, le ministère public a-t-il demandé qu'un certain nombre ne fussent pas entendus.
Deux témoins habitant Rouen sont cités: la fille Clémentine Puissant, caissière d'estaminet, ancienne maîtresse d'Adeline, et M. Frémont, débitant, rue de la Chaîne, 3, chez qui Adeline avait loué une chambre.
La fille Puissant, qui se présente avec une toilette des plus tapageuses, se défend d'avoir été la maîtresse d'Adeline:
"Oh! non, alors, j'ai eu des relations passagères avec ce monsieur, mais pas sa maîtresse, jamais, ah! non."
Le tout avec une sorte de ricanement fort méprisant à l'adresse d'Adeline, qui juge à propos de protester et d'affirmer qu'elle a bien été sa maîtresse. Elle ajoute qu'elle n'a passé que vingt-quatre heures avec lui à Paris, au lendemain du crime, et qu'elle l'a quitté quand il lui a dit qu'il était déserteur.
Quant au logeur, M. Frémont, il raconte les faits qui se sont passés chez lui, et dont nous avons rendu compte. Rappelons-en les points principaux: Adeline s'était présenté chez lui comme orphelin de père et mère et jouissant d'un revenu de 1000 fr. par mois. La veille du meurtre de son grand-père, en partant de Rouen, il dit au logeur: " Ne vous étonnez pas si vous me voyez revenir avec une fausse barbe." Enfin, le témoin raconte comment, le quatrième jour après l'assassinat, Adeline, revenu à Rouen, et prévenu par sa maîtresse que le Journal de Rouen rapportait qu'on l'accusait d'avoir assassiné son grand-père, se fit acheter les quatre derniers numéros, les lut, brûla celui du samedi, qui contenait le récit, et partit immédiatement. Le lendemain, on l'arrêtait à Serqueux.

Le réquisitoire

M. le commandant Combelle, commissaire du gouvernement, prend la parole. L'honorable organe du ministère public rappelle d'abord les antécédents d'Adeline.
Né en 1864, à dix ans, il obtenait une bourse au lycée de Caen; renvoyé pour indélicatesse en 1880, il fut transféré au lycée de Rouen d'où il fut renvoyé à nouveau et déchu de sa bourse, pour insultes graves en public à deux maîtres répétiteur. Ses notes de lycée le représentent comme "sournois, difficile, toujours prêt à réclamer."Après avoir rappelé ses vols à Caen et chez son père, son engagement au 74e de ligne le 31 mars 1884, sa vie dissipée, ses dépenses folles, M. Combelle arrive à la scène du crime.
Il établit la préméditation par les deux voyages précédents qu'Adeline a faits par la manière dont il a exécuté son forfait, enfin par les précautions qu'il a prises.Il ajoute que l'opinion publique fut unanime à accuser Adeline, et, -fait qui produit sensation dans l'auditoire, - "les parents eux-mêmes du jeune homme l'en croyaient si bien capable que, depuis le crime, la tante d'Adeline, Mme Pouettre, la voisine de M. Biette, ainsi que sa servante, la fille Barbe, n'osèrent pas se coucher la nuit, tant que l'assassin ne fut pas arrêté, de peur qu'il ne revint leur faire un nouveau coup."
En terminant, M. le commandant Combelle requiert contre l'accusé une condamnation à mort.
La défense était présentée d'office par Me Goujon, qui plaide habillement les circonstances atténuantes, et réclame l'indulgence du conseil pour son triste client. Pendant toute sa plaidoirie, Adeline pleure à chaudes larmes.
Il est rappelé à la barre:

D. Avez-vous quelque chose à ajouter pour votre défense?
R. Je me repens de tout mon cœur, malgré ce qu'a dit le ministère public, et la meilleure preuve, c'est que je me suis livré sans résistance à la gendarmerie, à Touques, et que depuis que je suis en prison, je n'ai pas dormi une seule nuit.

On l'emmène dans sa cellule.
Le conseil se retire dans la chambre des délibérations et rentre au bout d'un quart d'heure.
Adeline est déclaré, à l'unanimité, coupable d'avoir assassiné son grand-père, et condamné à la peine de mort et à la dégradation militaire.
Rappelé dans la salle, après le départ du conseil, il entend, sans sourciller, la terrible sentence.






jeudi 11 mai 2017

Le site des anciennes églises d'Ableville et de Crémanville

A quelques kilomètres de Honfleur, les anciennes paroisses d'Ableville  et de Crémanville avaient chacune leur église et cimetière, disparus au cours du XIXe siècle. De nos jours ces lieux sont entretenus par la commune de Ablon. Il est agréable de s’y arrêter, endroits calme sous le chant mélodieux des oiseaux. Je connaissais les lieux depuis de nombreuses années mais je n'y avais encore jamais mis les pieds! Je ne pensais pas découvrir des jardins aménagés et entretenus. Pour ceux qui font des randonnées dans le secteur, il faut y venir faire une halte!

Ableville


Il y a un panneau explicatif dans le jardin qui résume bien l'historique de l'endroit. Voici la retranscription.

JARDIN D'ABLEVILLE

Ce site est l'emplacement de l'Eglise d'Ableville et de son cimetière. La Commune d'Ableville entourait presque entièrement la Commune de Ablon, puisqu'elle occupait la rive gauche de la Vallée de la Morelle depuis l'ancienne commune de Saint Martin le Viel jusqu'a son embouchure (comprenant le bourg actuel de la Rivière Saint Sauveur et aussi la terre de Saint Nicol).

L'Eglise d'Ableville bâtie sous le vocable de Saint Martin fut démolie vers 1825. Elle était de petite dimension (environ 13m de longueur et 6m de largeur), et se serait montrée insuffisante si elle n'avait eu pour succursale la Chapelle Saint Sauveur Les Vases.

La Commune d'Ableville fut réunie à la Commune de Ablon en 1809.

Cet endroit laissé à l'abandon fut restauré en jardin l'hiver 1983/84 par les employés de la Commune de Ablon, qui en poursuivent l'entretien.

Nous avons souhaité ce lieu historique, calme et reposant.

Nous demandons aux touristes et promeneurs de garder ce site propre et de respecter tout ce qui en fait sa valeur.

Le Maire Christian TROCQUE
L'Adjoint au Maire Bernard HUBERT.


Voici des photos de l'endroit prises le 09/05/2017:











Crémanville


Un panneau explicatif est également présent dans cet endroit. Voici la transcription qui retrace l'histoire du lieu:

JARDIN DE CREMANVILLE

Ce site est l'emplacement de l'Eglise de Crémanville et de son cimetière.

La Commune de Crémanville fût réunie à la Commune de Ablon en 1809. Elle occupait la Vallée de l'Orange depuis Gonneville jusqu'au bourg de Saint Sauveur Les Vases. L'ancien Manoir de Crémanville existe partiellement, des douves dont on devine le tracé l'entouraient.

L'Eglise de Crémanville a disparu à la même époque que celle d'Ableville. Elle était sans doute peu importante (23 m x 7 m), et se trouvait placée sous le Vocable de Notre Dame de Bonne Nouvelle.

Le dernier Curé avant la Révolution fut Philippe Hamelin des Essarts. Ayant refusé de prêter serment à la Constitution, il émigra en Angleterre. Lorsque la paix religieuse fut rétablie en 1801, il revient en France et sa paroisse de Crémanville ayant été réunie à celle de Ablon, il sera Curé de cette nouvelle circonscription.

Les restes de pierres et cailloux furent regroupés dans la forme actuelle par Monsieur Vavasseur, qui habitait dans l'ancien Presbytère, encore existant à l'Est de cet endroit.

Des fêtes importantes avec l'Abbé René Hardy eurent lieu dans les années 1937/38. L'Invocation à la vierge sous le Vocable Notre Dame de Bonne Nouvelle fut repris à cette époque. Chaque année au 15 Août un pèlerinage est organisé par le Curé desservant la paroisse d'Ablon.

Cet endroit souvent visité, fut amélioré en 1984 par les employés de la Commune de Ablon qui en poursuivent l'entretien.

Nous avons souhaité ce lieu historique, calme et reposant.

Nous demandons aux touristes, promeneurs et pèlerins de garder ce site propre et de respecter ce qui en fait sa valeur.

Le Maire Christian TROCQUE
L'adjoint au Maire Bernard HUBERT


Voici des photos de l'endroit prises le 09/05/2017:

















































dimanche 19 mars 2017

1837: Meurtre dans le pays d'Auge, à Saint Gatien des Bois

Ce crime est resté longtemps dans les mémoires des habitants du canton dont voici le déroulement décrit dans un journal de l'époque.

Journal Le Normand du 14 avril 1837

On nous écrit de Saint Gatien des Bois, près de Pont l'Evêque:
Samedi 8 avril, des malfaiteurs, qui étaient, dit-on, au nombre de trois, sont entrés vers les sept heures et demie du soir dans la maison de Mme GUILLOU, veuve octogénaire, habitant Saint Gatien des Bois, au haut de la côte de la Griserie, dans la forêt de Touques, à peu de distance de la route d'Honfleur. Lorsqu'ils ont ouvert la porte de la cuisine trois personnes attablées y soupaient gaiment. C'étaient le nommé GUERRY, maçon, le domestique Joseph CHERRON, et la servante. La maîtresse du logis était assise au coin du feu. A peine les brigands eurent-ils franchi le seuil qu'ils demandèrent à prendre la goutte. Le domestique CHERRON répond que la maison n'est point un cabaret, et que s'ils veulent boire ils trouveront une auberge à quelques pas de la. Un des bandits, changeant brusquement de ton, appuya le canon de son pistolet sur la tête de l'ouvrier maçon, et déclara que ses  compagnons et lui se présentaient, au nom du Procureur du Roi, pour s'assurer si la maison de Mme GUILLOU ne récélait point de fausse monnaie. Aussitôt CHERRON s'elance sur le brigand, en s'écriant   vaincre ou mourir! Il veut s'emparer des armes des malfaiteurs, mais malheureusement il a bientôt le dessous. Dans la lutte violente et inégale qui s'est engagée entre CHERRON et les voleurs, ce malheureux, mais courageux serviteur, est tombé mort à leurs pieds, le ventre et la poitrine hachés à coup de sabre.
GUERRY profita du désordre qu'amena ce drame sanglant pour s'echapper par une porte qui donne sur le jardin de l'habitation. Il appela du secours, mais les secours vint trop tard. Les assassins avaient pris la fuite, en abandonnant deux pistolets et une casquette bleue.
La servante a fait également résistance, et a été blessée à la figure d'un coup de sabre.
La justice, informée de cet attentat, s'est rendue sans retard sur les lieux. La casquette qu'elle a trouvée renferme, dit-on, un voile, sur lequel on remarque des tâches de sang: elles paraissaient y exister depuis peu de temps; ce qui ferait supposer que les trois bandits se seraient déjà rendus coupables de quelque meurtre. Les pistolets qu'ils ont laissés étaient chargés à balle.
S'il faut en croire certains bruits, ces brigands se sont évadés montés dans un cabriolet attelé d'un cheval. On croit généralement qu'ils se sont dirigés vers Caen; plusieurs personnes assurent qu'ils ont pris la route de Lisieux en sortant de Saint Gatien.
Ce crime, qui annonce une grande audace, a été commis au défaut du jour, la veille de la foire de Caen, à l'issue des marchés de Lisieux et d'Honfleur; circonstances qui faisaient que sur la route royale dans le voisinage de laquelle il a eu lieu les voyageurs se succédaient presque sans interruption.

Informations complémentaires sur les victimes:


- Mme veuve GUILLOU, chef de famille.
BOUDARD Marie Anne Françoise fille de BOUDARD François et de ADAM Marguerite Françoise, née vers 1750 à Saint Philbert des Champs, décédée chez elle, quartier de la Griserie à Saint Gatien des Bois le 16 avril 1837 soit 1 semaine après l'événement, ce qui montre bien le traumatisme subit.
Elle a épousé le 26/11/1771 à Saint Gatien des Bois un homme de plus de 30 ans son ainé GUILLOU Pierre fils de GUILLOU Jean et de BOUFFARD Suzanne (°31/07/1717 Englesqueville en Auge- + 23/02/1780 Englesqueville en Auge).
Entourage: son fils GUILLOU Paul César, Maire de Saint Gatien des Bois de 1807 à 1812 puis de 1816 à 1821, son gendre GUILLOU Jean Pierre Guillaume, Maire de Saint Gatien des Bois de 1821 à 1832.

-GUERRY Jean François, Maçon, fils de GUERRY Jean et de LEBAILLY Jeanne Renée. Il épouse le 15 octobre 1832 à Saint Gatien des Bois Julie Félicité ROUVAL fille naturelle de Julie Félicité ROUVAL( °03/10/1809 Saint Gatien des Bois - 16/05/1878 Saint Gatien des Bois).

-Joseph CHERRON, domestique, né vers 1809, enfant naturel, est assassiné à Saint Gatien des Bois le 8 avril 1837 à l'âge de 28 ans.

-La servante LE GRIP

Louis DELAMARE, un diplomate français né à Trouville

Louis DELAMARE, ce nom m’évoque l'école primaire que j'ai fréquenté à Hennequeville à la fin des années 80. Instituteur M. CANU (CP). Institutrices Mme LAGARDE (CE1 et CE2) et Mme FAUCHE (CM1 et CM2).
Louis DELAMARE est né le 12 novembre 1921 à Trouville sur Mer et assassiné le 4 septembre 1981 à Beyrouth au Liban. Il est enterré à Tourgéville.
Le nom donné à l'école était donc relativement récent à l'époque de ma scolarité. Je me suis interrogé sur le nom qu'elle avait auparavant. Les délibérations municipales de Trouville sur Mer du 30 juillet 1982 donnent la réponse :

Dénomination de l'école communale de Hennequeville

L'école communale de Hennequeville se trouve complétée par deux classes maternelles et une cantine dont l'inauguration aura lieu en septembre prochain.

Cette école n'ayant pas de nom,
Le conseil Municipal
sur la proposition de l'un des membres
et sous la réserve de l'accord de la famille

Décide de lui donner le nom de Louis DELAMARE, Ambassadeur de France au Liban assassiné en septembre 1981, né à Trouville.


Relevé de Notes. Ecole Louis DELAMARE. Année scolaire 1987-1988
En faisant des recherches dans les actes d'état civil et paroissiaux, on découvre que Louis DELAMARE compte bon nombre d'ancêtres sur Trouville et les environs. Découvrez ci-dessous son ascendance. Vous pourrez ainsi, peut-être, trouver un cousinage.

Génération n°1
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[1] Louis Fernand DELAMARE, né le 12 novembre 1921 à Trouville-sur-Mer (14715), décédé le 4 septembre 1981 à Beyrouth à l'âge de 60 ans, enterré à Tourgéville (14) qui était Diplomate français.
Il épouse le 15 février 1947 à Orsay (91471) Françoise Frédérique Georgette LEOBON, décédée en 2005.
Ils eurent cinq enfants connus : Philippe, Eric, Caroline, François et Olivier.

Génération n°2
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[2] Louis Alphonse Léon DELAMARE, né le 13 janvier 1893 à Trouville-sur-Mer (14715), décédé le 12 juillet 1975 à Lisieux (14366) à l'âge de 82 ans qui était Mecanicien.
Il épouse le 4 décembre 1920 à Touques (14699) [3] Fernande Esther Emilie VANDON, née le 15 mai 1895 à Trouville-sur-Mer (14715), décédée le 3 janvier 1974 à Deauville (14220) à l'âge de 79 ans, fille de Fernand Jules VANDON {° 1870,+ <1920} et de Aline Angèle Léontine PILON {° 1873,+ <1920}.
Ils eurent un enfant connu : Louis.

Génération n°3
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[4] Charles Arsène Théodore DELAMARE, né vers 1863 qui est Serrurier.
Il épouse le 7 mai 1889 à Trouville-sur-Mer (14715) [5] Alice Marie OZERAIS, née en 1869 à Deauville (14220), décédée en 1948 à l'âge de 79 ans, fille de Pierre Anatole OZERAIS {,+ <1889} et de Marie Louise ROBERGE.
Ils eurent un enfant connu : Louis.

[6] Fernand Jules VANDON, né le 18 octobre 1870 à Trouville-sur-Mer (14715), décédé avant 1920 à l'âge de 50 ans qui était Employé de commerce, Marchand Boucher.
Il épouse le 3 juin 1893 à Saint-Martin-aux-Chartrains (14620) [7] Aline Angèle Léontine PILON, née le 10 mars 1873 à Saint-Martin-aux-Chartrains (14620), décédée avant 1920 à l'âge de 47 ans, fille de Emile César PILON {° ~1842} et de Léontine Caroline Antoinette DASSEVILLE {° ~1845}.
Ils eurent un enfant connu : Fernande.

Génération n°4
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[8] Alphonse DELAMARE, né à Honfleur (14333).
Il épouse le 8 mai 1858 à Trouville-sur-Mer (14715) [9] Marie Anne Virginie SENECAL, fille de Charles SENECAL et de Marie Marguerite BUHOT.
Ils eurent trois enfants connus : Alphonse, Paul et Charles.

[10] Pierre Anatole OZERAIS, décédé avant 1889.
Il épouse le 11 août 1863 à Trouville-sur-Mer (14715) [11] Marie Louise ROBERGE, née à Honfleur (14333), fille de Louis ROBERGE et de Louise DUBOURG.
Ils eurent un enfant connu : Alice.

[12] Amand Léon VANDON, né le 18 août 1841 à Pont-Audemer (27467) qui est Boucher.
Il épouse le 21 avril 1863 à Trouville-sur-Mer (14715) [13] Marie Julie Esther FRELASTRE, née le 4 avril 1845 à Trouville-sur-Mer (14715), décédée le 27 juin 1891 à Trouville-sur-Mer (14715) à l'âge de 46 ans qui était Couturière, fille de Jean Baptiste FRELASTRE {° 1811} et de Julie DESHAYES {° 1815}.
Ils eurent un enfant connu : Fernand.

[14] Emile César PILON, né vers 1842 à Saint-Martin-de-Sallen (14) qui est Proprietaire.
Il épouse le 28 septembre 1867 à Saint-Arnoult (14557) [15] Léontine Caroline Antoinette DASSEVILLE, née vers 1845 qui est Proprietaire, fille de Jean Adolphe DASSEVILLE et de Caroline LEFEVRE.
Ils eurent un enfant connu : Aline.

Génération n°5
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[16] Jean Baptiste DELAMARE.
Il épouse le 4 février 1823 à Trouville-sur-Mer (14715) [17] Marie Anne Catherine DEUX, née à Daubeuf (14699a), décédée avant 1852, fille de Jacques DEUX et de Catherine PICOT.
Ils eurent deux enfants connus : Victoire et Alphonse.

[18] Charles SENECAL.
Il épouse le 9 juillet 1831 à Trouville-sur-Mer (14715) [19] Marie Marguerite BUHOT, fille de François Guillaume Gabriel BUHOT {° 1780,+ <1831} et de Marie Marguerite HAREL {° 1779}.
Ils eurent un enfant connu : Marie.

[20] Jean Pierre OZERAIS.
Il épouse le 18 décembre 1832 à Trouville-sur-Mer (14715) [21] Marie Constance SIMEREL, née à Cricquebeuf (76), fille de Louis SIMEREL et de Rose Rosalie CALENTIER.
Ils eurent un enfant connu : Pierre.

[22] Louis ROBERGE.
Il se lie avec [23] Louise DUBOURG.
Ils eurent un enfant connu : Marie.

[24] Jean Baptiste Amand VANDON, né vers 1805 qui est Domestique.
Il se lie avec [25] Victoire Virginie DELAMARE, née vers 1809.
Ils eurent un enfant connu : Amand.

[26] Jean Baptiste FRELASTRE, né le 13 avril 1811 à Trouville-sur-Mer (14715) qui est Cordier, Cafetier.
Il épouse le 15 mai 1838 à Trouville-sur-Mer (14715) [27] Julie DESHAYES, née le 30 novembre 1815 à Villerville (14755), fille de Pierre Hugues Benjamin DESHAYES et de Elisabeth LENGIN.
Ils eurent un enfant connu : Marie.

[28] Pierre PILLON.
Il se lie avec [29] Ursule LOISNEL, décédée avant 1867.
Ils eurent un enfant connu : Emile.

[30] Jean Adolphe DASSEVILLE, né à Saint-Étienne-la-Thillaye (14575).
Il épouse le 4 mai 1843 à Vauville (14731) [31] Caroline LEFEVRE, fille de Michel LEFEVRE et de Charlotte LEGUILLON.
Ils eurent un enfant connu : Léontine.

Génération n°6
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[32] Jean Baptiste DELAMARE, né à Trouville-sur-Mer (14715), décédé avant 1823.
Il épouse le 31 octobre 1798 à Touques (Mariage au canton) (14699) [33] Marie Anne LABBEY, née à Caen (14118), fille de Antoine LABBEY {,+ <1798} et de Marie Catherine GERVAIS.
Ils eurent un enfant connu : Jean.

[34] Jacques DEUX.
Il épouse le 24 mai 1784 à Daubeuf (14699a) [35] Catherine PICOT, fille de Nicolas PICOT {° ~1723,+ 1778} et de Anne Charlotte FESQUET {° 1725,+ 1778}.
Ils eurent trois enfants connus : Marie, Marie et Marie.

[36] Charles Thomas SENECAL qui est Marin pêcheur.
Il épouse le 21 février 1803 à Trouville-sur-Mer (14715) [37] Marie Anne Marguerite MAZURIER, fille de Guillaume MAZURIER {,+ <1843} et de Marie Anne THOLMER {,+ <1843}.
Ils eurent trois enfants connus : Charles, Jean et Thomas.

[38] François Guillaume Gabriel BUHOT, né le 25 septembre 1780 à Touques (14699), décédé avant 1831 à l'âge de 51 ans qui était Marin pêcheur.
Il épouse le 11 juin 1805 à Trouville-sur-Mer (14715) [39] Marie Marguerite HAREL, née le 11 novembre 1779 à Trouville-sur-Mer (14715), fille de François HAREL {,+ <1805} et de Marie Catherine CROIX.
Ils eurent quatre enfants connus : Marie, Anne, Robert et Jean.

[40] Pierre OZERAIS, né à Trouville-sur-Mer (14715).
Il épouse le 1 mai 1805 à Villerville (14755) [41] Marie Anne TOUTAIN, fille de Pierre Guillaume TOUTAIN et de Marie Elisabeth MONSAINT {° 1738,+ 1826}.
Ils eurent un enfant connu : Jean.

[42] Louis SIMEREL.
Il se lie avec [43] Rose Rosalie CALENTIER.
Ils eurent un enfant connu : Marie.

[52] Jean Baptiste FRELASTRE, né à Trouville-sur-Mer (14715), décédé avant 1838 à Trouville-sur-Mer (14715) qui était Charpentier de maison.
Il épouse le 28 décembre 1810 à Saint-André-d'Hébertot (14555) [53] Marie Catherine PERRIER, née à Saint-André-d'Hébertot (14555), fille de Jean PERRIER et de Catherine Charlotte DUCHEMIN.
Ils eurent un enfant connu : Jean.

[54] Pierre Hugues Benjamin DESHAYES qui est Cultivateur.
Il épouse le 12 février 1811 à Villerville (14755) [55] Elisabeth LENGIN, fille de Thomas Olivier LENGIN {,+ <1802} et de Catherine DUBOCQ.
Ils eurent un enfant connu : Julie.

[60] Jean DASSEVILLE.
Il se lie avec [61] Marie Françoise MARTIN.
Ils eurent un enfant connu : Jean.

[62] Michel LEFEVRE.
Il se lie avec [63] Charlotte LEGUILLON.
Ils eurent un enfant connu : Caroline.

Génération n°7
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[64] Jean Pierre DELAMARE, décédé avant 1798.
Il épouse le 11 juin 1765 à Hennequeville (14) [65] Françoise COUYERE, fille de Michel COUYERE {° 1705,+ 1762} et de Françoise BEURIER {,+ 1762}.
Ils eurent deux enfants connus : Jean et Jean.

[66] Antoine LABBEY, décédé avant 1798.
Il se lie avec [67] Marie Catherine GERVAIS.
Ils eurent un enfant connu : Marie.

[68] Jean DEUX.
Il se lie avec [69] Marie MAUDUIT.
Ils eurent un enfant connu : Jacques.

[70] Nicolas PICOT, né vers 1723, décédé le 21 juin 1778 à Daubeuf (14699a) à l'âge de 55 ans.
Il épouse le 29 juillet 1760 à Daubeuf (14699a) [71] Anne Charlotte FESQUET, née le 1 août 1725 à Touques (Saint Pierre) (14699), décédée le 26 décembre 1778 à Daubeuf (14699a) à l'âge de 53 ans, fille de Elie FESQUET {° 1690,+ 1741} et de Charlotte AUBREE {° ~1699,+ 1741}.
Ils eurent deux enfants connus : Catherine et Anne.

[72] Gilles Thomas SENECAL, né à Benerville-sur-Mer (14059), décédé avant 1802.
Il épouse le 1 août 1771 à Trouville-sur-Mer (14715) [73] Marie Madeleine HAREL, fille de Etienne HAREL et de Marie COUYERE.
Ils eurent sept enfants connus : Thomas, Jean, Marie, Charles, Pierre, Marguerite et André.

[74] Guillaume MAZURIER, décédé avant 1843.
Il épouse le 12 juillet 1774 à Trouville-sur-Mer (14715) [75] Marie Anne THOLMER, décédée avant 1843, fille de Jacques THOLMER et de Anne LEMANICHER {,+ <1774}.
Ils eurent cinq enfants connus : Marie, Jacques, Marie, Marie et Charles.

[76] Guillaume BUHOT, né à Trouville-sur-Mer (14715).
Il épouse le 13 février 1779 à Tourgéville (14) [77] Anne Geneviève OLLIVIER, née à Benerville-sur-Mer (14059), fille de Pierre OLLIVIER {,+ <1779} et de Anne LECOURTOIS.
Ils eurent un enfant connu : François.

[78] François HAREL, décédé avant 1805.
Il épouse le 17 février 1767 à Trouville-sur-Mer (14715) [79] Marie Catherine CROIX, fille de Pierre CROIX {° 1703,+ 1783} et de Marie Anne BRIXARD {° 1712,+ 1799}.
Ils eurent neuf enfants connus : Marie, Anne, François, Robert, Thomas, Marie, Marie, Marie et Marie.

[80] Jean Pierre Grégoire OZERAIS, né à Villerville (14755), décédé avant 1804.
Il épouse le 6 février 1781 à Trouville-sur-Mer (14715) [81] Marie Anne GOULEY, fille de Michel GOULEY {,+ <1781} et de Marguerite DUBOSQ.
Ils eurent un enfant connu : Pierre.

[82] Pierre Guillaume TOUTAIN.
Il épouse le 3 mai 1763 à Villerville (14755) [83] Marie Elisabeth MONSAINT, née en 1738, décédée en 1826 à l'âge de 88 ans, fille de Jean MONSAINT {° 1698,+ 1775} et de Elisabeth GUIBOUT {° 1702,+ 1742}.
Ils eurent trois enfants connus : Marie, Marie et Marie.

[104] Michel FRELASTRE, décédé avant 1810.
Il épouse le 4 mai 1779 à Equemauville (14243) [105] Marie Anne LEGER, née à Martainville (27), fille de Denis LEGER {,+ <1779} et de Marie LETOREY {,+ <1779}.
Ils eurent un enfant connu : Jean.

[106] Jean PERRIER.
Il se lie avec [107] Catherine Charlotte DUCHEMIN.
Ils eurent un enfant connu : Marie.

[108] Jean Pierre DESHAYES, né à Pennedepie (14492), décédé avant 1814.
Il épouse le 28 novembre 1775 à Cricqueboeuf (14202) [109] Marie Anne FLOQUET, née à Trouville-sur-Mer (14715), fille de Charles FLOQUET {,+ <1774} et de Marie Anne ROMAIN.
Ils eurent trois enfants connus : Pierre, Anne et François.

[110] Thomas Olivier LENGIN, né à Vasouy (14725), décédé avant 1802.
Il épouse le 25 septembre 1765 à Quetteville (14528) [111] Catherine DUBOCQ, fille de Antoine DUBOCQ {,+ <1765} et de Madeleine FIQUET.
Ils eurent quatre enfants connus : Catherine, Elisabeth, Marie et Marie.

Génération n°8
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[128] Jean DELAMARE, décédé avant 1776.
Il épouse le 5 février 1728 à Trouville-sur-Mer (14715) Anne GOULEY, décédée avant 1735, fille de Jean GOULEY {,+ <1717} et de Geneviève MAZURIER. Postérité non connue.
Il épouse le 15 février 1735 à Trouville-sur-Mer (14715) [129] Marguerite BUCHARD, décédée avant 1786, fille de Pierre BUCHARD et de Anne BIAIS.
Ils eurent deux enfants connus : Jean et Marguerite.

[130] Michel COUYERE, né le 21 octobre 1705 à Hennequeville (14), décédé le 1 septembre 1762 à Hennequeville (14) à l'âge de 57 ans.
Il épouse le 23 novembre 1734 à Trouville-sur-Mer (14715) [131] Françoise BEURIER, décédée le 17 février 1762 à Hennequeville (14), fille de Jean BEURIER {,+ <1746} et de Marie GOULEY {° ~1661,+ 1709}.
Ils eurent trois enfants connus : Jean, Françoise et Michel.

[140] Jean PICOT, né à Norolles (14466), décédé avant 1760.
Il se lie avec [141] Françoise LANGLOIS, décédée avant 1760.
Ils eurent un enfant connu : Nicolas.

[142] Elie FESQUET, né le 28 février 1690 à Touques (Saint Thomas) (14699), décédé le 28 janvier 1741 à Touques (Saint Thomas) (14699) à l'âge de 51 ans.
Il épouse le 10 septembre 1724 à Touques (Saint Thomas) (14699) [143] Charlotte AUBREE, née vers 1699 à Condé-sur-Noireau (14174), décédée le 2 janvier 1741 à Touques (Saint Thomas) (14699) à l'âge de 42 ans, fille de Jacques AUBREE {° ~1670,+ <1724} et de Jeanne LEPELTIER {,+ <1724}.
Ils eurent un enfant connu : Anne.

[144] Thomas SENECAL, né vers 1715 à Benerville-sur-Mer (14059), décédé avant 1770 à l'âge de 55 ans.
Il épouse le 16 août 1739 à Benerville-sur-Mer (14059) [145] Marie MOREL, née vers 1717 à Benerville-sur-Mer (14059), fille de Thomas MOREL et de Marie ADAM.
Ils eurent deux enfants connus : Marie et Gilles.

[146] Etienne HAREL.
Il épouse le 16 novembre 1734 à Hennequeville (14) [147] Marie COUYERE, fille de Jean COUYERE {,+ <1734} et de Anthoinette AUBER.
Ils eurent cinq enfants connus : François, Marie, Catherine, Marguerite et Marie.

[148] François MAZURIER, décédé avant 1774.
Il épouse le 1 février 1746 à Trouville-sur-Mer (14715) [149] Jeanne MOTEL, fille de Jacques MOTEL {,+ <1746} et de Marie CAILLOUX.
Ils eurent deux enfants connus : Guillaume et Charles.

[150] Jacques THOLMER, né à Trouville-sur-Mer (14715).
Il épouse le 19 janvier 1740 à Touques (Saint Thomas) (14699) [151] Anne LEMANICHER, décédée avant 1774, fille de Charles LEMANICHER {,+ <1740} et de Geneviève LOISEL.
Ils eurent un enfant connu : Marie.

[152] Laurent BUHOT, né à Colleville sur Orne (14), décédé avant 1768.
Il épouse le 17 août 1747 à Trouville-sur-Mer (14715) [153] Françoise de VILLERS, née à Villerville (14755), décédée avant 1786, fille de Jean de VILLERS {,+ <1737} et de Françoise HOULLET.
Ils eurent deux enfants connus : Françoise et Guillaume.

[154] Pierre OLLIVIER, décédé avant 1779.
Il se lie avec [155] Anne LECOURTOIS.
Ils eurent un enfant connu : Anne.

[156] Etienne HAREL.
Il épouse le 16 novembre 1734 à Hennequeville (14) [157] Marie COUYERE, fille de Jean COUYERE {,+ <1734} et de Anthoinette AUBER.
Ils eurent cinq enfants connus : François, Marie, Catherine, Marguerite et Marie.

[158] Pierre CROIX, né le 21 octobre 1703 à Hennequeville (14), décédé le 3 février 1783 à Hennequeville (14) à l'âge de 80 ans qui était Marin Pêcheur, syndic de la pêche.
Il épouse le 24 février 1737 à Trouville-sur-Mer (14715) [159] Marie Anne BRIXARD, née le 13 septembre 1712 à Trouville-sur-Mer (14715), décédée le 7 novembre 1799 à Hennequeville (14) à l'âge de 87 ans, fille de François BRIXARD {° ~1682,+ 1760} et de Anne PETIT {° ~1681,+ 1758}.
Ils eurent sept enfants connus : Thomas, Thomas, Marie, Robert, Marie, Joseph et Pierre.

[160] Pierre OZERAIS.
Il se lie avec [161] Marie HELOY.
Ils eurent un enfant connu : Jean.

[162] Michel GOULEY, décédé avant 1781.
Il épouse le 19 juillet 1746 à Trouville-sur-Mer (14715) [163] Marguerite DUBOSQ, née à Villerville (14755), fille de Jacques DUBOSQ {,+ <1746} et de Marguerite FOSSARD {,+ <1746}.
Ils eurent deux enfants connus : Marie et Anne.

[164] Pierre TOUTAIN, décédé avant 1762.
Il épouse le 8 janvier 1728 à Villerville (14755) [165] Anne MOTEL, fille de Jacques MOTEL {,+ <1728} et de Magdeleine DEUVE.
Ils eurent deux enfants connus : Jean et Pierre.

[166] Jean MONSAINT, né le 11 janvier 1698 à Saint-Gatien-des-Bois (14578), décédé le 18 novembre 1775 à Villerville (14755) à l'âge de 77 ans qui était Fermier de la bergerie.
Il épouse le 5 août 1721 à Villerville (14755) [167] Elisabeth GUIBOUT, née le 22 septembre 1702 à Villerville (14755), décédée le 5 juin 1742 à Villerville (14755) à l'âge de 40 ans, fille de Jacques GUIBOUT {° 1673,+ 1743} et de Catherine LEBOUTEILLER {,+ 1753}.
Ils eurent six enfants connus : Thomas, Guillaume, Julien, Catherine, Anne et Marie.
Il épouse le 6 juillet 1748 à Saint-Gatien-des-Bois (14578) Marie CAREL, fille de Louis CAREL {° 1672,+ 1757} et de Magdeleine PESNEL {° 1674,+ 1756}. Postérité non connue.

[208] François FRELATRE, né à Equemauville (14243).
Il se lie avec [209] Catherine COUYERE, décédée avant 1779, fille de Jean COUYERE {,+ <1754} et de Marie LIEBARD {,+ <1754}.
Ils eurent un enfant connu : Michel.
Il épouse le 23 novembre 1734 à Fourneville (14286) Catherine JEANNE, fille de Noël JEHANNE {,+ <1734} et de Marie BREARD. Postérité non connue.

[210] Denis LEGER, décédé avant 1779.
Il se lie avec [211] Marie LETOREY, décédée avant 1779.
Ils eurent un enfant connu : Marie.

[216] Philippe DESHAYES, décédé avant 1775.
Il se lie avec [217] Marie Madeleine QUETEL.
Ils eurent un enfant connu : Jean.

[218] Charles FLOQUET, né à Pennedepie (14492), décédé avant 1774.
Il épouse le 7 octobre 1738 à Cricqueboeuf (14202) [219] Marie Anne ROMAIN, née à Honfleur (Sainte Catherine) (14333), fille de Robert ROMAIN {,+ <1738} et de Jeanne ORIEULT.
Ils eurent trois enfants connus : Marie, Jacques et Marie.

[220] Olivier LANGIN, décédé avant 1749.
Il épouse le 10 février 1722 à Equemauville (14243) Marie COPIEUX, décédée avant 1735, fille de Guillaume COPIEUX et de Anne MANSEL.
Ils eurent un enfant connu : Marie.
Il épouse le 22 février 1735 à Equemauville (14243) [221] Catherine LIETOUT, décédée avant 1765, fille de Thomas LIETOUT {,+ <1731} et de Marie HARANGER {,+ <1735}.
Ils eurent quatre enfants connus : Claire, Thomas, Marguerite et Catherine.

[222] Antoine DUBOCQ, décédé avant 1765.
Il se lie avec [223] Madeleine FIQUET.
Ils eurent un enfant connu : Catherine.

Génération n°9
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[256] Nicolas DELAMARE, décédé avant 1728.
Il se lie avec [257] Marie BUNEL.
Ils eurent un enfant connu : Jean.

[258] Pierre BUCHARD, né à Touques (Saint Thomas) (14699).
Il épouse le 29 janvier 1704 à Hennequeville (14) [259] Anne BIAIS, fille de Auguste BIAIS {,+ <1731} et de Marie OTTON.
Ils eurent un enfant connu : Marguerite.

[260] Pierre COUYERE, né le 20 mai 1675 à Hennequeville (14), décédé le 11 juillet 1734 à Hennequeville (14) à l'âge de 59 ans.
Il épouse le 8 janvier 1704 à Hennequeville (14) [261] Françoise AUBERT, née le 7 mars 1674 à Hennequeville (14), décédée le 19 avril 1732 à Hennequeville (14) à l'âge de 58 ans, fille de Jacques AUBERT {° ~1643,+ 1724} et de Marie DELESPINEY {,+ <1699}.
Ils eurent deux enfants connus : Michel et Jean.

[262] Jean BEURIER, décédé avant 1746.
Il épouse le 1 mars 1699 à Trouville-sur-Mer (14715) [263] Marie GOULEY, née vers 1661, décédée le 19 avril 1709 à Hennequeville (14) à l'âge de 48 ans, fille de Pierre GOULEY et de Marie DOUILLY.
Ils eurent deux enfants connus : Jeanne et Françoise.
Il épouse le 12 octobre 1709 à Trouville-sur-Mer (14715) Sainte MARTIN, née vers 1663, décédée le 18 avril 1733 à Trouville-sur-Mer (14715) à l'âge de 70 ans, fille de Fleurant MARTIN et de Anne DESROQUES. Postérité non connue.
Il épouse le 23 août 1735 à Trouville-sur-Mer (14715) Marie Jacqueline GOGUET, fille de Marie LEMESLE. Postérité non connue.

[284] Jean FESQUET, né en 1653 à Les Authieux-sur-Calonne (14032), décédé le 26 avril 1736 à Touques (14699) à l'âge de 83 ans.
Il épouse le 25 septembre 1687 à Touques (Saint Thomas) (14699) [285] Françoise FRESNEL, née en 1657, décédée le 11 mars 1712 à Touques (14699) à l'âge de 55 ans, fille de Jacques FRESNEL {,+ <1687} et de Catherine DUVAL {° ~1640}.
Ils eurent deux enfants connus : François et Elie.
Il épouse le 10 novembre 1715 à Touques (14699) Anne CAVELIER. Postérité non connue.

[286] Jacques AUBREE, né vers 1670, décédé avant 1724 à l'âge de 54 ans.
Il se lie avec [287] Jeanne LEPELTIER, décédée avant 1724.
Ils eurent un enfant connu : Charlotte.

[288] Jacques SENECAL, né vers 1678 à Benerville-sur-Mer (14059) qui est Ebeniste.
Il épouse le 10 août 1700 à Saint-Étienne-la-Thillaye (14575) [289] Marie HEUDIER, née vers 1680, fille de Jean HEUDIER et de Catherine BAUDRY.
Ils eurent un enfant connu : Thomas.

[290] Thomas MOREL.
Il se lie avec [291] Marie ADAM.
Ils eurent un enfant connu : Marie.

[292] Etienne HAREL.
Il épouse le 20 juin 1700 à Trouville-sur-Mer (14715) [293] Jeanne OTTON, fille de Jean OTTON et de Marguerite DUCLOS {,+ <1700}.
Ils eurent deux enfants connus : Gabriel et Etienne.

[294] Jean COUYERE, décédé avant 1734.
Il épouse le 3 mars 1699 à Hennequeville (14) [295] Anthoinette AUBER, fille de Jacques AUBERT {° ~1643,+ 1724} et de Marie DELESPINEY {,+ <1699}.
Ils eurent un enfant connu : Marie.

[296] François MAZURIER.
Il épouse le 17 février 1711 à Trouville-sur-Mer (14715) [297] Marie GOULEY, fille de Charles GOULEY {,+ 1715} et de Jacqueline POTIN {,+ <1696}.
Ils eurent deux enfants connus : François et Jean.

[298] Jacques MOTEL, né à Trouville-sur-Mer (14715), décédé avant 1746.
Il épouse le 23 juillet 1720 à Saint-Étienne-la-Thillaye (14575) [299] Marie CAILLOUX, née à Tourgéville (14), fille de Jean CAILLOU {,+ <1720} et de Jeanne LECHEVALLIER.
Ils eurent un enfant connu : Jeanne.

[300] Jacques THOLMER, décédé avant 1740.
Il se lie avec [301] Françoise LE HERIBEY.
Ils eurent un enfant connu : Jacques.

[302] Charles LEMANICHER, décédé avant 1740.
Il épouse le 19 août 1715 à Saint-Désir (14574) [303] Geneviève LOISEL, fille de Gilles LOISEL et de Elisabeth TOUSTAIN.
Ils eurent deux enfants connus : Catherine et Anne.

[304] Nicolas BUHOT.
Il se lie avec [305] Anne VIMARD.
Ils eurent un enfant connu : Laurent.

[306] Jean de VILLERS, né à Blonville-sur-Mer (14079), décédé avant 1737.
Il épouse le 23 octobre 1711 à Pennedepie (14492) [307] Françoise HOULLET, fille de Marguerin HOULLET et de Marie TARLOS.
Ils eurent trois enfants connus : Marie, Catherine et Françoise.

[312] Etienne HAREL.
Il épouse le 20 juin 1700 à Trouville-sur-Mer (14715) [313] Jeanne OTTON, fille de Jean OTTON et de Marguerite DUCLOS {,+ <1700}.
Ils eurent deux enfants connus : Gabriel et Etienne.

[314] Jean COUYERE, décédé avant 1734.
Il épouse le 3 mars 1699 à Hennequeville (14) [315] Anthoinette AUBER, fille de Jacques AUBERT {° ~1643,+ 1724} et de Marie DELESPINEY {,+ <1699}.
Ils eurent un enfant connu : Marie.

[316] Robert CROIX, né le 8 septembre 1660 à Hennequeville (14), décédé le 25 mai 1704 à Hennequeville (14) à l'âge de 44 ans.
Il épouse le 28 février 1686 à Hennequeville (14) [317] Marguerite GUERRIER, née à Touques (Saint Thomas) (14699), fille de Robert GUERRIER.
Ils eurent trois enfants connus : Robert, Elisabeth et Pierre.

[318] François BRIXARD, né vers 1682, décédé le 21 février 1760 à Trouville-sur-Mer (14715) à l'âge de 78 ans qui était Pilote.
Il épouse le 17 octobre 1711 à Trouville-sur-Mer (14715) [319] Anne PETIT, née vers 1681, décédée le 18 août 1758 à Trouville-sur-Mer (14715) à l'âge de 77 ans, fille de René PETIT {,+ <1711} et de Marie GODIN {,+ <1711}.
Ils eurent huit enfants connus : Marie, Etienne, Thomas, Jeanne, Marie, Marie, Jean et Genevieve.

[324] Jean GOULEY.
Il épouse en 1717 [325] Elisabeth CROIX, décédée avant 1746, fille de Robert CROIX {° 1660,+ 1704} et de Marguerite GUERRIER.
Ils eurent un enfant connu : Michel.

[326] Jacques DUBOSQ, décédé avant 1746.
Il épouse le 21 septembre 1713 à Trouville-sur-Mer (14715) [327] Marguerite FOSSARD, décédée avant 1746, fille de Jacques FOSSARD et de Françoise DUMONT.
Ils eurent un enfant connu : Marguerite.

[328] Guillaume TOUTAIN, décédé avant 1711.
Il se lie avec [329] Marie GUERET.
Ils eurent quatre enfants connus : Marie, Pierre, Marguerite et Marie.

[330] Jacques MOTEL, décédé avant 1728.
Il épouse le 12 février 1692 à Hennequeville (14) [331] Magdeleine DEUVE, née à Villerville (14755), fille de François DEUVE et de Marguerite PAVIOT.
Ils eurent un enfant connu : Anne.

[332] Jean MONSAINT, né le 28 juin 1659 à Saint-Gatien-des-Bois (14578), décédé le 15 septembre 1713 à Villerville (14755) à l'âge de 54 ans.
Il épouse le 6 août 1690 à Saint-Gatien-des-Bois (14578) Gabrielle LECESNE, décédée avant 1696, fille de Jacques LECESNE {,+ <1690} et de Madeleine LEGRIX.
Ils eurent deux enfants connus : Marguerite et Marie.
Il épouse le 22 janvier 1696 à Saint-Gatien-des-Bois (14578) [333] Anne LEGRIX, née le 25 septembre 1670 à Saint-Gatien-des-Bois (14578), décédée le 11 avril 1703 à Saint-Gatien-des-Bois (14578) à l'âge de 33 ans, fille de Pierre LEGRIX {° 1636,+ 1673} et de Marie DUNEPVEU {,+ 1702}.
Ils eurent trois enfants connus : Jean, Anne et Pierre.
Il épouse le 13 juillet 1706 à Saint-Gatien-des-Bois (14578) Catherine LECARPENTIER, fille de Anthoine LECARPENTIER et de Anne BREAVOINE.
Ils eurent un enfant connu : Charles.

[334] Jacques GUIBOUT, né le 1 novembre 1673 à Villerville (14755), décédé le 1 novembre 1743 à Villerville (14755) à l'âge de 70 ans qui était Marchand.
Il épouse le 19 juillet 1701 à Villerville (14755) [335] Catherine LEBOUTEILLER, décédée le 10 décembre 1753 à Villerville (14755), fille de Guillaume LEBOUTEILLER et de Elisabeth MAUFRAS.
Ils eurent six enfants connus : Marie, Elisabeth, Anne, Genevieve, Jeanne et Guillaume.

[416] Jean FRELATRE, décédé avant 1734.
Il se lie avec [417] Anne FILLANDRE.
Ils eurent un enfant connu : François.

[418] Jean COUYERE, décédé avant 1754.
Il se lie avec [419] Marie LIEBARD, décédée avant 1754.
Ils eurent deux enfants connus : Catherine et Michel.

[436] Jacques FLOQUET.
Il se lie avec [437] Catherine JOUEN.
Ils eurent un enfant connu : Charles.

[438] Robert ROMAIN, décédé avant 1738.
Il épouse le 8 juin 1694 à Touques (Saint Thomas) (14699) [439] Jeanne ORIEULT, fille de Jean ORIEULT et de Marie HALEY.
Ils eurent deux enfants connus : Jeanne et Marie.

[440] François LANGIN, né à Saint-Gatien-des-Bois (14578), décédé avant 1722.
Il épouse le 4 février 1674 à Equemauville (14243) Catherine HERBELIN, née à Gonneville-sur-Honfleur (14304), décédée avant 1682, fille de Pierre HERBELIN et de Louise GIMER. Postérité non connue.
Il épouse le 28 novembre 1682 à Equemauville (14243) [441] Marie THOURET, fille de Pierre THOREL {,+ <1680} et de Fleurie FOSSE {,+ 1680}.
Ils eurent un enfant connu : Olivier.

[442] Thomas LIETOUT, décédé avant 1731.
Il se lie avec [443] Marie HARANGER, décédée avant 1735.
Ils eurent trois enfants connus : Pierre, Marie et Catherine.

Génération n°10
---------------

[516] Jean BUCHARD, décédé avant 1707.
Il se lie avec [517] Madeleine LEHERICHER.
Ils eurent quatre enfants connus : Jacques, Catherine, Jean et Pierre.

[518] Auguste BIAIS, décédé avant 1731.
Il épouse le 26 juillet 1667 à Hennequeville (14) [519] Marie OTTON.
Ils eurent trois enfants connus : Marie, Anne et Pierre.

[520] Robert COUYERE, décédé le 29 mai 1711 à Hennequeville (14).
Il épouse le 8 novembre 1667 à Hennequeville (14) [521] Anne PETIT, fille de Jacques PETIT.
Ils eurent trois enfants connus : Jean, Marie et Pierre.

[522] Jacques AUBERT, né vers 1643, décédé le 2 juin 1724 à Hennequeville (14) à l'âge de 81 ans.
Il épouse le 25 novembre 1671 à Hennequeville (14) [523] Marie DELESPINEY, décédée avant 1699.
Ils eurent cinq enfants connus : Françoise, Anthoinette, Anne, Marie et Catherine.
Il épouse le 6 janvier 1699 à Hennequeville (14) Louise GUERRIER, née à Moyaux (14460), fille de Nicolas GUERRIER {,+ <1709} et de Michelle JOUIN.
Ils eurent un enfant connu : Catherine.

[524] François BEURIER, né à Touques (Saint Thomas) (14699), décédé avant 1707.
Il épouse le 14 novembre 1673 à Trouville-sur-Mer (14715) [525] Jeanne LECOQ, décédée avant 1707.
Ils eurent deux enfants connus : Guillaume et Jean.

[526] Pierre GOULEY.
Il se lie avec [527] Marie DOUILLY.
Ils eurent un enfant connu : Marie.

[568] Charles FESQUET, né vers 1620.
Il se lie avec [569] Catherine BOUDIN, née vers 1625.
Ils eurent un enfant connu : Jean.

[570] Jacques FRESNEL, décédé avant 1687.
Il se lie avec [571] Catherine DUVAL, née vers 1640.
Ils eurent un enfant connu : Françoise.

[576] Jacques SENECAL.
Il se lie avec [577] Etiennotte DUVAL.
Ils eurent un enfant connu : Jacques.

[578] Jean HEUDIER.
Il se lie avec [579] Catherine BAUDRY.
Ils eurent un enfant connu : Marie.

[584] Jean HAREL.
Il se lie avec [585] Marguerite GOULEY.
Ils eurent un enfant connu : Etienne.

[586] Jean OTTON.
Il se lie avec [587] Marguerite DUCLOS, décédée avant 1700.
Ils eurent un enfant connu : Jeanne.

[588] Robert COUYERE, décédé le 29 mai 1711 à Hennequeville (14).
Il épouse le 8 novembre 1667 à Hennequeville (14) [589] Anne PETIT, fille de Jacques PETIT.
Ils eurent trois enfants connus : Jean, Marie et Pierre.

[590] Jacques AUBERT, né vers 1643, décédé le 2 juin 1724 à Hennequeville (14) à l'âge de 81 ans.
Il épouse le 25 novembre 1671 à Hennequeville (14) [591] Marie DELESPINEY, décédée avant 1699.
Ils eurent cinq enfants connus : Françoise, Anthoinette, Anne, Marie et Catherine.
Il épouse le 6 janvier 1699 à Hennequeville (14) Louise GUERRIER, née à Moyaux (14460), fille de Nicolas GUERRIER {,+ <1709} et de Michelle JOUIN.
Ils eurent un enfant connu : Catherine.

[592] Charles MAZURIER, né vers 1642 à Trouville-sur-Mer (14715), décédé le 29 mai 1702 à Trouville-sur-Mer (14715) à l'âge de 60 ans.
Il épouse le 15 novembre 1672 à Trouville-sur-Mer (14715) [593] Marguerite SAFFREY, née vers 1647, décédée le 15 avril 1717 à Trouville-sur-Mer (14715) à l'âge de 70 ans.
Ils eurent trois enfants connus : François, Guillaume et Gabriel.

[594] Charles GOULEY, décédé le 20 février 1715 à Trouville-sur-Mer (14715).
Il épouse le 16 novembre 1677 à Trouville-sur-Mer (14715) Jeanne GUILBERT, décédée avant 1683. Postérité non connue.
Il épouse le 27 novembre 1683 à Trouville-sur-Mer (14715) [595] Jacqueline POTIN, née à Saint-Arnoult (14557), décédée avant 1696, fille de Pierre POTIN et de Catherine GOGUET.
Ils eurent un enfant connu : Marie.
Il épouse le 7 octobre 1696 à Trouville-sur-Mer (14715) Marguerite ADAM, décédée le 2 mars 1722 à Trouville-sur-Mer (14715), fille de Jean ADAM {° ~1624,+ 1694} et de Anne CAVELIER {,+ 1694}.
Ils eurent deux enfants connus : Catherine et Françoise.

[596] Jacques MOTEL, décédé avant 1720.
Il se lie avec [597] Jeanne ROUMY, décédée avant 1720.
Ils eurent un enfant connu : Jacques.

[598] Jean CAILLOU, décédé avant 1720.
Il se lie avec [599] Jeanne LECHEVALLIER.
Ils eurent un enfant connu : Marie.

[604] Nicolas LE MANICHER.
Il épouse le 3 avril 1690 à Montreuil-en-Auge (14448) [605] Marguerite LEBON, fille de Vincent LEBON.
Ils eurent un enfant connu : Charles.

[606] Gilles LOISEL, né à Touques (Saint Thomas) (14699).
Il épouse le 9 octobre 1692 à Honfleur (Sainte Catherine) (14333) [607] Elisabeth TOUSTAIN.
Ils eurent un enfant connu : Geneviève.

[612] François de VILLERS, décédé avant 1711.
Il se lie avec [613] Barbe DOUILLON.
Ils eurent un enfant connu : Jean.

[614] Marguerin HOULLET.
Il se lie avec [615] Marie TARLOS.
Ils eurent un enfant connu : Françoise.

[624] Jean HAREL.
Il se lie avec [625] Marguerite GOULEY.
Ils eurent un enfant connu : Etienne.

[626] Jean OTTON.
Il se lie avec [627] Marguerite DUCLOS, décédée avant 1700.
Ils eurent un enfant connu : Jeanne.

[628] Robert COUYERE, décédé le 29 mai 1711 à Hennequeville (14).
Il épouse le 8 novembre 1667 à Hennequeville (14) [629] Anne PETIT, fille de Jacques PETIT.
Ils eurent trois enfants connus : Jean, Marie et Pierre.

[630] Jacques AUBERT, né vers 1643, décédé le 2 juin 1724 à Hennequeville (14) à l'âge de 81 ans.
Il épouse le 25 novembre 1671 à Hennequeville (14) [631] Marie DELESPINEY, décédée avant 1699.
Ils eurent cinq enfants connus : Françoise, Anthoinette, Anne, Marie et Catherine.
Il épouse le 6 janvier 1699 à Hennequeville (14) Louise GUERRIER, née à Moyaux (14460), fille de Nicolas GUERRIER {,+ <1709} et de Michelle JOUIN.
Ils eurent un enfant connu : Catherine.

[632] Robert CROIX, décédé avant 1681.
Il épouse le 16 mai 1651 à Hennequeville (14) [633] Marie MOTTEL.
Ils eurent quatre enfants connus : Jean, Guillaume, Charlotte et Robert.

[634] Robert GUERRIER.
Il eut un enfant connu : Marguerite.

[636] Richard BRIXARD, né vers 1649 à Trouville-sur-Mer (14715), décédé le 19 janvier 1725 à Trouville-sur-Mer (14715) à l'âge de 76 ans qui était Pilote maritime.
Il épouse le 13 février 1673 à Trouville-sur-Mer (14715) [637] Julienne PENEL, née vers 1644, décédée le 12 octobre 1694 à Trouville-sur-Mer (14715) à l'âge de 50 ans, fille de François PENEL et de Marguerite BOUCHER.
Ils eurent cinq enfants connus : François, Jean, Marie, Marie et Louis.

[638] René PETIT, décédé avant 1711.
Il se lie avec [639] Marie GODIN, décédée avant 1711.
Ils eurent un enfant connu : Anne.

[648] Nicolas GOULEY, décédé le 15 avril 1716 à Trouville-sur-Mer (14715).
Il épouse le 26 février 1669 à Trouville-sur-Mer (14715) [649] Françoise COIGNET, née en 1646, décédée le 14 avril 1720 à Trouville-sur-Mer (14715) à l'âge de 74 ans.
Ils eurent trois enfants connus : Jean, Jean et Robert.

[650] Robert CROIX, né le 8 septembre 1660 à Hennequeville (14), décédé le 25 mai 1704 à Hennequeville (14) à l'âge de 44 ans.
Il épouse le 28 février 1686 à Hennequeville (14) [651] Marguerite GUERRIER, née à Touques (Saint Thomas) (14699), fille de Robert GUERRIER.
Ils eurent trois enfants connus : Robert, Elisabeth et Pierre.

[652] Jacques DUBOSQ.
Il se lie avec [653] Jeanne VAUDRIN.
Ils eurent un enfant connu : Jacques.

[654] Jacques FOSSARD.
Il se lie avec [655] Françoise DUMONT.
Ils eurent un enfant connu : Marguerite.

[660] Antoine MOTEL.
Il se lie avec [661] Marguerite DELAMARE.
Ils eurent quatre enfants connus : Marie, Jacques, Madeleine et Marie.

[662] François DEUVE.
Il se lie avec [663] Marguerite PAVIOT.
Ils eurent deux enfants connus : Marie et Magdeleine.

[664] Laurens MONSAINT, né le 6 octobre 1625 à Saint-Gatien-des-Bois (14578), décédé le 18 avril 1702 à Saint-Gatien-des-Bois (14578) à l'âge de 77 ans.
Il épouse le 17 septembre 1654 à Saint-Gatien-des-Bois (14578) [665] Anne VANIER, née le 1 avril 1626 à Saint-Gatien-des-Bois (14578), décédée le 5 mai 1702 à Saint-Gatien-des-Bois (14578) à l'âge de 76 ans, fille de Pierre VANIER {° 1603,+ <1670} et de Jeanne VANNIER.
Ils eurent six enfants connus : Marie, André, Jean, Jacqueline, Charles et Jacques.

[666] Pierre LEGRIX, né le 12 août 1636 à Saint-Gatien-des-Bois (14578), décédé le 1 novembre 1673 à Saint-Gatien-des-Bois (14578) à l'âge de 37 ans.
Il épouse le 4 février 1660 à Tourville-en-Auge (14706) [667] Marie DUNEPVEU, décédée le 22 avril 1702 à Saint-Gatien-des-Bois (14578), fille de Nicolas LENEVEU et de Sainte LECAUF.
Ils eurent deux enfants connus : Jean et Anne.

[668] Pierre GUIBOUT, décédé le 10 octobre 1694 à Villerville (14755) qui était Tavernier.
Il se lie avec [669] Françoise GUERRIER, décédée le 21 juillet 1704 à Villerville (14755).
Ils eurent quatre enfants connus : Jeanne, Guillaume, François et Jacques.

[670] Guillaume LEBOUTEILLER.
Il se lie avec [671] Elisabeth MAUFRAS.
Ils eurent trois enfants connus : Catherine, Jeanne et Claude.

[876] Noël ROMAIN.
Il se lie avec [877] Françoise LOUVET.
Ils eurent un enfant connu : Robert.

[878] Jean ORIEULT.
Il se lie avec [879] Marie HALEY.
Ils eurent un enfant connu : Jeanne.

[880] Jean LANGIN, décédé avant 1674.
Il se lie avec [881] Marguerite PASTEY.
Ils eurent un enfant connu : François.

[882] Pierre THOREL, décédé avant 1680.
Il se lie avec [883] Fleurie FOSSE, décédée le 26 octobre 1680 à Beuzeville (27065).
Ils eurent deux enfants connus : Marie et Henri.

Génération n°11
---------------

[1040] Guillaume COUYERE.
Il se lie avec [1041] Sainte LEROUX.
Ils eurent un enfant connu : Robert.

[1042] Jacques PETIT.
Il eut un enfant connu : Anne.

[1044] Pierre AUBERT.
Il se lie avec [1045] Perrine DASSAVILLE.
Ils eurent un enfant connu : Jacques.

[1176] Guillaume COUYERE.
Il se lie avec [1177] Sainte LEROUX.
Ils eurent un enfant connu : Robert.

[1178] Jacques PETIT.
Il eut un enfant connu : Anne.

[1180] Pierre AUBERT.
Il se lie avec [1181] Perrine DASSAVILLE.
Ils eurent un enfant connu : Jacques.

[1184] Guillaume MAZURIER, décédé le 7 janvier 1680 à Trouville-sur-Mer (14715).
Il se lie avec [1185] Marguerite GEMME.
Ils eurent un enfant connu : Charles.

[1188] Robert GOULEY, né vers 1628, décédé le 25 mai 1705 à Trouville-sur-Mer (14715) à l'âge de 77 ans.
Il se lie avec [1189] Guillemette LEGUAY, née vers 1635, décédée le 27 mars 1705 à Trouville-sur-Mer (14715) à l'âge de 70 ans.
Ils eurent cinq enfants connus : Charles, Pierre, Jean, Gilles et François.

[1190] Pierre POTIN.
Il se lie avec [1191] Catherine GOGUET.
Ils eurent un enfant connu : Jacqueline.

[1208] Pierre LE MANICHER.
Il se lie avec [1209] Marguerite ?.
Ils eurent un enfant connu : Nicolas.

[1210] Vincent LEBON.
Il eut un enfant connu : Marguerite.

[1256] Guillaume COUYERE.
Il se lie avec [1257] Sainte LEROUX.
Ils eurent un enfant connu : Robert.

[1258] Jacques PETIT.
Il eut un enfant connu : Anne.

[1260] Pierre AUBERT.
Il se lie avec [1261] Perrine DASSAVILLE.
Ils eurent un enfant connu : Jacques.

[1264] Guillaume CROIX.
Il épouse avant 1600 [1265] Marie SURTAINVILLE.
Ils eurent un enfant connu : Robert.

[1272] Clément BRIXARD.
Il se lie avec [1273] Jeanne GOBIN.
Ils eurent un enfant connu : Richard.

[1274] François PENEL.
Il se lie avec [1275] Marguerite BOUCHER.
Ils eurent un enfant connu : Julienne.

[1300] Robert CROIX, décédé avant 1681.
Il épouse le 16 mai 1651 à Hennequeville (14) [1301] Marie MOTTEL.
Ils eurent quatre enfants connus : Jean, Guillaume, Charlotte et Robert.

[1302] Robert GUERRIER.
Il eut un enfant connu : Marguerite.

[1328] Jean MONSAINT, décédé avant 1654.
Il eut trois enfants connus : Laurens, André et Marguerite.

[1330] Pierre VANIER, né le 28 décembre 1603 à Saint-Gatien-des-Bois (14578), décédé avant 1670 à Saint-Gatien-des-Bois (14578) à l'âge de 67 ans.
Il se lie avec [1331] Jeanne VANNIER.
Ils eurent trois enfants connus : Anne, Adrienne et Anne.

[1332] Charles LEGRIX, décédé le 17 septembre 1663 à Saint-Gatien-des-Bois (14578).
Il se lie avec [1333] Guillemette CANU, née le 2 avril 1607 à Saint-Gatien-des-Bois (14578), fille de Richard CANU et de Catherine LECHEVALLIER.
Ils eurent trois enfants connus : Jean, Madeleine et Pierre.

[1334] Nicolas LENEVEU.
Il épouse le 7 février 1641 à Tourville-en-Auge (14706) [1335] Sainte LECAUF, fille de Georges LECAUF et de Françoise SANSON.
Ils eurent un enfant connu : Marie.

[1336] Martin GUIBOUT, né en 1618, décédé le 31 janvier 1685 à Villerville (14755) à l'âge de 67 ans.
Il se lie avec [1337] Marie DUSSOLIER.
Ils eurent un enfant connu : Pierre.

Génération n°12
---------------

[2528] Jean CROIX.
Il eut un enfant connu : Guillaume.

[2600] Guillaume CROIX.
Il épouse avant 1600 [2601] Marie SURTAINVILLE.
Ils eurent un enfant connu : Robert.

[2660] Gabriel VANIER.
Il se lie avec [2661] Ysabeau PRENTOUT.
Ils eurent trois enfants connus : Pierre, Adriane et Jeanne.

[2664] Pierre LEGRIX.
Il eut un enfant connu : Charles.

[2666] Richard CANU.
Il se lie avec [2667] Catherine LECHEVALLIER.
Ils eurent trois enfants connus : Silvestre, Jehanne et Guillemette.

[2668] Jean LENEVEU.
Il se lie avec [2669] Jeanne ADAM.
Ils eurent un enfant connu : Nicolas.

[2670] Georges LECAUF.
Il se lie avec [2671] Françoise SANSON.
Ils eurent un enfant connu : Sainte.

[2672] Samson GUIBOUT, décédé le 26 octobre 1636 à Villerville (14755).
Il épouse le 12 avril 1616 à Villerville (14755) [2673] Saincte PHILIPPE, décédée le 22 juin 1679 à Villerville (14755), fille de Nicolas PHILIPPE.
Ils eurent un enfant connu : Martin.

Génération n°13
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[5056] Michel CROIX.
Il eut un enfant connu : Jean.

[5200] Jean CROIX.
Il eut un enfant connu : Guillaume.

[5346] Nicolas PHILIPPE.
Il eut trois enfants connus : Pierre, Jean et Saincte.

Génération n°14
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[10400] Michel CROIX.
Il eut un enfant connu : Jean.